la ville des ville des ponts suspendus
25-04-2009, 08:45 PM
c'est un documentaire en français sur la ville de constantine
je sais qu'il soit présenté en arabe ici ,mais c'est service pour une élève de 4AM ici dand notre forum
je vous souhaite de bons moments
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,, Constantine : Qasentina aussi appelée la « ville des ponts suspendus » ou bien « ville des aigles », est une ville du nord-est de l'Algérie, peuplée de plus de 540 000 habitants (1 000 000 agglomération). Importante ville Phénicienne, numide, puis romaine, elle a été détruite en 311 par Maxence et Domitius Alexander. Elle fut reconstruite peu après par Constantin Ier, qui lui a laissé son nom.
Ville du malouf la celebre musique arabo-andalouse, et des oulémas (les savants), chef-lieu de la wilaya du même nom, elle est la capitale de l'est du pays (rôle qu'elle tend de plus en plus à partager avec sa voisine et rivale Annaba) et la troisième ville en Algérie, après Alger et Oran.
Constantine est un centre culturel, architectural et industriel important et possède deux universités :
Personnalités de la ville
Les personnalités les plus connues nées à Constantine sont:
(vers 240 avant J-C - vers 149 avant J-C). Vers la fin du troisième siècle av. J.C., apparaît un descendant de la dynastie massylienne (La Massylie est une partie de la Numidie : actuellement la partie orientale de l'Algérie et la partie occidentale de la Tunisie), Massinissa, fils de Gaia, roi dépossédé des terres de ses ancêtres par le Masaesyle Syphax. Pour récupérer cet héritage, Massinissa combat en Espagne en 206 av. J.C. aux côtés des Carthaginois, contre les Romains, alliés de Syphax. Sorti vainqueur du conflit (capture de Syphax en 203 et bataille de Zama, à la frontière algéro-tunisienne, où est défait le Carthaginois Hannibal), Massinissa emploiera son long règne (203 à 148 av. J.C., soit 56 ans) à agrandir son royaume avec la bienveillance de Rome, aux dépens de la Massésylie, à l'ouest, et de Carthage, à l'est. Massinissa un personnage vigoureux qui, sans pour autant dédaigner les fastes de son palais de Cirta (Constantine), chevauchait encore aux côtés de ses cavaliers, par tous les temps, alors qu'il était octogénaire, et laissa une nombreuse progéniture ; il organisa une puissante armée, mit en valeur le sol, noua des relations avec le monde méditerranéen (péninsule ibérique, Rome, Athènes, Rhodes, Délos) et frappa monnaie à la façon des monarques (hellénistiques). Il laisse encore le souvenir du premier souverain qui unifia la quasi-totalité de l'Afrique du Nord en un État organisé.
Orateur réputé, précepteur de l'empeur Marc-Aurèle, sa correspondance avec cet empereur sera retrouvée et publiée. Fut consul en 143 sous Antonin le Pieux. Il a une réputation prodigieuse, il a réalisé exactement l'idéal littéraire de ses comtemporains ; et si nous trouvons, nous, dans ses œuvres, beaucoup d'affectation, de la prétention et du mauvais goût, nous ne devons pas oublier que ces défauts, pour les Romains du IIe siècle, étaient des qualités et que Fronton a été unanimement reconnu, de son vivant, comme un très grand artiste.
Constantine fut choisie au XVIe siècle pour être la capitale du Beylik de l'Est. Le Bey était nommé par le pacha d'Alger qui pouvait le révoquer à volonté. Plus qu'aucun autre, Salah Bey fit vraiment figure de prince. S'appliquant à continuer l'œuvre entreprise par ses prédécesseurs, il voulut doter Constantine de constructions dignes d'un chef-lieu de grande province. En faisant raser de vieilles maisons, il réorganisa tout un quartier, celui de Sidi el-Kettani, voisin de la Kasbah. Il y fit édifier une belle mosquée à laquelle il adjoignit une medersa. Cette école étant devenue rapidement insuffisante, il en créa une seconde à Sidi Lakhdar. On lui doit aussi la reconstruction du pont d'El-Kantara dont le passage avait été interrompu pendant cinq siècles. La carrière de Salah Bey connut une fin dramatique ; Hassan Pacha, le Dey, le démit de ses fonctions, et, devant son refus d'obéir, le fit assassiner, en 1792.
Hadj Ahmed, dernier bey de Constantine, est l'une des grandes figures de la résistance au colonialisme. Après avoir occupé plusieurs postes de responsabilité, il devint gouverneur du Beylik de l'Est en 1826, au temps du Dey Hussein. Le dernier bey de Constantine fit construire son palais de 1826 à 1835. Il eut recours à deux artistes réputés, El Hadj el-Djabri, originaire de la ville et le Kabyle El-Khettabi. Il livra et remporta sa première bataille à Constantine, en 1836, contre les troupes commandées par le maréchal Clauzel. Le 21 novembre 1836, un corps de 8700 hommes arrive devant Constantine. L'armée française entreprit deux assauts par le pont, mais ils se brisèrent devant la porte d'EI Kantara. Battant en retraite, poursuivis par les Algériens, les soldats français abandonnèrent sur le terrain armes, bagages et blessés. En 1837, l'état-major français décida de mener une seconde expédition, qui fut confiée au général comte de Damrémont. Celui-ci disposait de 20400 hommes, dont 16000 combattants, d'une artillerie importante commandée par le général Valée et d'un corps de génie. Le 5 octobre, cette armée arriva à Constantine. Le 13 octobre, après une forte résistance la ville finit par tomber entre les mains de l'ennemi, qui subit pourtant de lourdes pertes. Hadj Ahmed Bey n'abandonna pas pour autant la lutte, et, ayant réussi à sortir de la ville avec quelques cavaliers, il se rallia des tribus de la région et se dirigea vers les Aurès en passant par Biskra. Il incita les populations de la région à organiser la résistance pour paralyser les mouvements de l'envahisseur. Mais, de plus en plus isolé et affaibli, il se rendit en juin 1848. En résidence surveillée à Alger, il y mourut en 1850.
1889 - 1940 Né en 1889 à Constantine, Abdelhamid Ben Badis fait ses études à la Zitouna de Tunis. Prédicateur et formateur à la mosquée "Djamaâ Lakhdar" qu'il ouvre en 1911, il se rend en pèlerinage en 1914 à la Mecque. Il participe activement au mouvement de l'Islah musulman et publie dès 1925 Al Mountaqid, journal critique dans lequel il amorce un travail profond de prise de conscience nationale. Après l'interdiction de cet organe, il lance la même année "Achihab" (le météore) puis "El-Bassaïr" (visions d'avenir) où il contribue à faire renforcer dans les plus larges masses les concepts du nationalisme, de l'arabisme et de la fidélité a l'Islam, les trois piliers de la personnalité algérienne. Fondateur de l'Association des Oulémas d’Algérie, il participe au Congrès musulman d'Alger en juin 1936 et déploie une activité constamment entravée par l'administration coloniale. Il meurt en 1940, laissant derrière lui une œuvre politique et culturelle qui a nourri l'esprit de plusieurs générations d’Algériens de son fameux triptyque : "l’Algérie est notre patrie, l'Islam est notre religion, l'Arabe, est notre langue." Promoteur du savoir, il est le 16 avril de chaque année, honoré au cours de "Youm-El-Ilm" (Journée de la science.)
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mes meilleures vœux
je suis pas de la ville
je sais qu'il soit présenté en arabe ici ,mais c'est service pour une élève de 4AM ici dand notre forum
je vous souhaite de bons moments
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,, Constantine : Qasentina aussi appelée la « ville des ponts suspendus » ou bien « ville des aigles », est une ville du nord-est de l'Algérie, peuplée de plus de 540 000 habitants (1 000 000 agglomération). Importante ville Phénicienne, numide, puis romaine, elle a été détruite en 311 par Maxence et Domitius Alexander. Elle fut reconstruite peu après par Constantin Ier, qui lui a laissé son nom.
Ville du malouf la celebre musique arabo-andalouse, et des oulémas (les savants), chef-lieu de la wilaya du même nom, elle est la capitale de l'est du pays (rôle qu'elle tend de plus en plus à partager avec sa voisine et rivale Annaba) et la troisième ville en Algérie, après Alger et Oran.
Constantine est un centre culturel, architectural et industriel important et possède deux universités :
- l'Université Mentouri de Constantine (UMC), dessinée par l'architecte brésilien Oscar Niemeyer, est l'une des plus grandes d'Algérie. Elle accueille depuis 1971 plus de 50 000 étudiants algériens et étrangers répartis sur les treize campus et entre les huit facultés et trente-cinq départements offrant environ 95 spécialités. Elle fut et reste la couveuse de plusieurs générations de cadres algériens ;
- l'Université des Sciences Islamiques de Constantine est, quant à elle, la plus importante d'Algérie. Elle a été inaugurée en 1994, en même temps que la grande mosquée Emir Abdelkader qui est aussi un magnifique monument architectural, dont elle partage les bâtiments. Elle accueille environ 3 000 étudiants répartis dans deux facultés (Faculté de la Charia et de la civilisation islamique et Faculté de littérature et des sciences humaines).
Personnalités de la ville
Les personnalités les plus connues nées à Constantine sont:
- Massinissa, premier roi de la Numidie unifiée,
(vers 240 avant J-C - vers 149 avant J-C). Vers la fin du troisième siècle av. J.C., apparaît un descendant de la dynastie massylienne (La Massylie est une partie de la Numidie : actuellement la partie orientale de l'Algérie et la partie occidentale de la Tunisie), Massinissa, fils de Gaia, roi dépossédé des terres de ses ancêtres par le Masaesyle Syphax. Pour récupérer cet héritage, Massinissa combat en Espagne en 206 av. J.C. aux côtés des Carthaginois, contre les Romains, alliés de Syphax. Sorti vainqueur du conflit (capture de Syphax en 203 et bataille de Zama, à la frontière algéro-tunisienne, où est défait le Carthaginois Hannibal), Massinissa emploiera son long règne (203 à 148 av. J.C., soit 56 ans) à agrandir son royaume avec la bienveillance de Rome, aux dépens de la Massésylie, à l'ouest, et de Carthage, à l'est. Massinissa un personnage vigoureux qui, sans pour autant dédaigner les fastes de son palais de Cirta (Constantine), chevauchait encore aux côtés de ses cavaliers, par tous les temps, alors qu'il était octogénaire, et laissa une nombreuse progéniture ; il organisa une puissante armée, mit en valeur le sol, noua des relations avec le monde méditerranéen (péninsule ibérique, Rome, Athènes, Rhodes, Délos) et frappa monnaie à la façon des monarques (hellénistiques). Il laisse encore le souvenir du premier souverain qui unifia la quasi-totalité de l'Afrique du Nord en un État organisé.
- Marcus Cornelius Fronto (Fronton de Cirta) entre 90 et 100 - 175 Rhéteur latin originaire de Cirta
Orateur réputé, précepteur de l'empeur Marc-Aurèle, sa correspondance avec cet empereur sera retrouvée et publiée. Fut consul en 143 sous Antonin le Pieux. Il a une réputation prodigieuse, il a réalisé exactement l'idéal littéraire de ses comtemporains ; et si nous trouvons, nous, dans ses œuvres, beaucoup d'affectation, de la prétention et du mauvais goût, nous ne devons pas oublier que ces défauts, pour les Romains du IIe siècle, étaient des qualités et que Fronton a été unanimement reconnu, de son vivant, comme un très grand artiste.
- Constantin Ier (Caius Flavius Valerius Aurelius Constantinus) entre 270 et 288 - 337 Re-fondateur de Constantine Après la victoire des Romains sur les Numides vers 203 av. J.-C., Cirta devint une importante colonie romaine. En 310, elle fut mise à sac par l'armée de l'empereur Maxence, qui régna sur la moitié occidentale de l'Empire romain de 306 à 312. C'est l'empereur Constantin le Grand qui rebâtit la ville en 313 après J.-C. et lui donna son nom.
- Salah Bey 1725 (Izmir en Turquie) - 1792 Bey de Constantine de 1771 à 1792
Constantine fut choisie au XVIe siècle pour être la capitale du Beylik de l'Est. Le Bey était nommé par le pacha d'Alger qui pouvait le révoquer à volonté. Plus qu'aucun autre, Salah Bey fit vraiment figure de prince. S'appliquant à continuer l'œuvre entreprise par ses prédécesseurs, il voulut doter Constantine de constructions dignes d'un chef-lieu de grande province. En faisant raser de vieilles maisons, il réorganisa tout un quartier, celui de Sidi el-Kettani, voisin de la Kasbah. Il y fit édifier une belle mosquée à laquelle il adjoignit une medersa. Cette école étant devenue rapidement insuffisante, il en créa une seconde à Sidi Lakhdar. On lui doit aussi la reconstruction du pont d'El-Kantara dont le passage avait été interrompu pendant cinq siècles. La carrière de Salah Bey connut une fin dramatique ; Hassan Pacha, le Dey, le démit de ses fonctions, et, devant son refus d'obéir, le fit assassiner, en 1792.
- Hadj Ahmed Bey vers 1784 - 1850
Hadj Ahmed, dernier bey de Constantine, est l'une des grandes figures de la résistance au colonialisme. Après avoir occupé plusieurs postes de responsabilité, il devint gouverneur du Beylik de l'Est en 1826, au temps du Dey Hussein. Le dernier bey de Constantine fit construire son palais de 1826 à 1835. Il eut recours à deux artistes réputés, El Hadj el-Djabri, originaire de la ville et le Kabyle El-Khettabi. Il livra et remporta sa première bataille à Constantine, en 1836, contre les troupes commandées par le maréchal Clauzel. Le 21 novembre 1836, un corps de 8700 hommes arrive devant Constantine. L'armée française entreprit deux assauts par le pont, mais ils se brisèrent devant la porte d'EI Kantara. Battant en retraite, poursuivis par les Algériens, les soldats français abandonnèrent sur le terrain armes, bagages et blessés. En 1837, l'état-major français décida de mener une seconde expédition, qui fut confiée au général comte de Damrémont. Celui-ci disposait de 20400 hommes, dont 16000 combattants, d'une artillerie importante commandée par le général Valée et d'un corps de génie. Le 5 octobre, cette armée arriva à Constantine. Le 13 octobre, après une forte résistance la ville finit par tomber entre les mains de l'ennemi, qui subit pourtant de lourdes pertes. Hadj Ahmed Bey n'abandonna pas pour autant la lutte, et, ayant réussi à sortir de la ville avec quelques cavaliers, il se rallia des tribus de la région et se dirigea vers les Aurès en passant par Biskra. Il incita les populations de la région à organiser la résistance pour paralyser les mouvements de l'envahisseur. Mais, de plus en plus isolé et affaibli, il se rendit en juin 1848. En résidence surveillée à Alger, il y mourut en 1850.
- Alphonse Laveran18 juin 1845 - 1922 Médecin, chercheur - Prix Nobel Après avoir fait ses études classiques au collège Sainte Barbe, puis au lycée Louis le Grand, le jeune Laveran intègre en 1863 l'école du Service de Santé Militaire de Strasbourg. Nommé interne des hôpitaux en 1866, il soutient en 1868 sa thèse de doctorat et rejoint aussitôt l'École d'Application du Val-de-Grâce. En 1878, son temps d'agrégation terminé, Laveran est affecté aux hôpitaux de la division de Constantine, et successivement à ceux de Bône, Biskra et Constantine, où il est promu en 1879, médecin major de 1" classe. C'est à Constantine, en 1880, que Laveran décrit dans le sang d'un soldat paludéen, des corps sphériques pigmentés identifiés à l'hématozoaire du paludisme, découverte fondamentale aussitôt rapportée à l'Académie de Médecine et à l'Académie des Sciences. C'est en 1907, que l'institut royal Carolin de Stockholm décerne à Alphonse Laveran le prix Nobel de physiologie et de médecine pour l'ensemble de ses travaux sur le rôle des protozoaires comme agents infectieux. Il a laissé son nom au lycée des filles de Constantine
1889 - 1940 Né en 1889 à Constantine, Abdelhamid Ben Badis fait ses études à la Zitouna de Tunis. Prédicateur et formateur à la mosquée "Djamaâ Lakhdar" qu'il ouvre en 1911, il se rend en pèlerinage en 1914 à la Mecque. Il participe activement au mouvement de l'Islah musulman et publie dès 1925 Al Mountaqid, journal critique dans lequel il amorce un travail profond de prise de conscience nationale. Après l'interdiction de cet organe, il lance la même année "Achihab" (le météore) puis "El-Bassaïr" (visions d'avenir) où il contribue à faire renforcer dans les plus larges masses les concepts du nationalisme, de l'arabisme et de la fidélité a l'Islam, les trois piliers de la personnalité algérienne. Fondateur de l'Association des Oulémas d’Algérie, il participe au Congrès musulman d'Alger en juin 1936 et déploie une activité constamment entravée par l'administration coloniale. Il meurt en 1940, laissant derrière lui une œuvre politique et culturelle qui a nourri l'esprit de plusieurs générations d’Algériens de son fameux triptyque : "l’Algérie est notre patrie, l'Islam est notre religion, l'Arabe, est notre langue." Promoteur du savoir, il est le 16 avril de chaque année, honoré au cours de "Youm-El-Ilm" (Journée de la science.)
- la princesse Charlotte de Monaco, mère de Rainier III de Monaco, naquit dans cette ville en 1898,
- Fodil El Ouartilani et Malek Bennabi, penseursmusulmans,
- Hassiba Boulmerka, Athlète, championne du monde(1991,1995) et championne olympique (1992) du 1500 mètres.
- Alfred Nakache, champion du monde de natation,
- Malek Haddad et Kateb Yacine, écrivains,
- Cheikh Raymond (chanteur et chef d'orchestre). Ce dernier mourut assassiné sur un marché par le FLN devant le palais de justice, peu avant l'indépendance en 1961,
- Enrico Macias, enseignant devenu chanteur en émigrant en France,
- El Hadj Mohamed Tahar Fergani, chanteur et chef d'orchestre de musique arabo-andalouse,
- Sidi Nemdil, Algerien Turk, Islamic et nationaliste, de la famille nemdil
- Françoise Arnoul, actrice,
- Claude Cohen-Tannoudji, Prix Nobel de physique,
- Charles-Michel Marle, mathématicien, né à Guelma d'une famille habitant Constantine,
- Alphonse Halimi, boxeur, champion du monde des coqs,
- Guy Allouche, sénateur honoraire du Nord, ancien vice-président du Sénat
- Benjamin Stora, historien,
- Abdelkader Chanderli, représentant permanent du FLN auprès de l'ONU
- Paul Amar, journaliste,
- Smaïn, acteur,
- Akim Tafer, boxeur,
- Jean-Michel Atlan, artiste peintre
- Abdelhak Benhamouda, ancien secrétaire général de l'UGTA, syndicat des travailleurs,
- Ahlam Mosteghanemi, Ahlem est un écrivain
- Jean-Claude Elkaim, entrepreneur au Brésil
- Jean Claude Héberlé,ancien directeur de France 2.
- Mohammed Tahar Arbaoui, ancien maire (1975 à 1984), vice président de l'APW (1985 à 1989)
- André Servier, historien du début du XXe siècle, rédacteur en chef de La Dépêche de Constantine[2
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mes meilleures vœux
je suis pas de la ville
رغبة مجنونة تراودني الان !! أن العب بالماء والصابون واصنع فقاعات صابون وأتابع تطايرها في الهواء و أن اطلق على الفقاعات أسماء أرواحخذلتني ورحلت، و أتابع انفجارها في الهواء بــ صمت ....







