Un soir pas commes les autres/21mais2003
29-05-2009, 03:06 PM
On se souvient bien
Deux mille trois vingt-et-un mais
Dans ma mémoire gravé à jamais
A six heures du soir
Soir rouge et noir
Sur boumerdès et tout le douar
Un destin dit séisme soudain frappa
Frappa avec main infernale
Une seconde avant tout allait bien
Une seconde après il y a rien
Seconde de supplice sans pitié
Ecrasa des villages entiers
Catastrophe sans précédente
On eut cru la fin du monde
Un tremblement très très fort
Les conséquences étaient très lourdes
Des milliers de morts martyres
Des milliers sans abris errèrent
Des nuits furent obscures
Ténèbres épouvantables tombèrent
Nous fûmes heurtés traumatisés
Isolés du monde et brisés
Chaque bruit me rappelait le choque
Choque volcanique bruit d’écrasement
Je le vois je l’entends
Si comme c’était tout à l’heure
Ruiné choqué mort-vivant
Les maisons dallées me font cauchemar
Une secousse à Zemmouri
Secoua toute l’Algérie
Le monde fut très vite réagi
Vivres, tentes et mains tendre
Les sinistrés bien soutenus
Un peuple solidaire généreux
Même si le drame était terrible
Avec sang froid on a fait l’impossible
Après six ans de ce drame
Chaque soir je composais un poème
Regret à tous ceux qui sont perdus
Doléance à tous ceux qui ont survécu
La vie nous cache des trous noir
Des impasses, des surprises tragiques
Un petit faible être humain
Ne peut rien contre son destin
Mais il a un cœur optimiste
Plein d’envie et d’espoir
Il oublie les blessures profondes
Un beau sourire lui donne victoire
Chaleur humaine merveille du monde
Chaque jour une nouvelle page
Malheurs et douleurs font un sage
Mille nuits de bonheur passent inaperçues
Une nuit sombre entre dans l’histoire
Vingt-et-un mais deux mille trois
Page douloureuse dans notre mémoire
Dieu merci les gens viennent d’oublier
Belles fleurs soleil d’or de sabliers



Deux mille trois vingt-et-un mais
Dans ma mémoire gravé à jamais
A six heures du soir
Soir rouge et noir
Sur boumerdès et tout le douar
Un destin dit séisme soudain frappa
Frappa avec main infernale
Une seconde avant tout allait bien
Une seconde après il y a rien
Seconde de supplice sans pitié
Ecrasa des villages entiers
Catastrophe sans précédente
On eut cru la fin du monde
Un tremblement très très fort
Les conséquences étaient très lourdes
Des milliers de morts martyres
Des milliers sans abris errèrent
Des nuits furent obscures
Ténèbres épouvantables tombèrent
Nous fûmes heurtés traumatisés
Isolés du monde et brisés
Chaque bruit me rappelait le choque
Choque volcanique bruit d’écrasement
Je le vois je l’entends
Si comme c’était tout à l’heure
Ruiné choqué mort-vivant
Les maisons dallées me font cauchemar
Une secousse à Zemmouri
Secoua toute l’Algérie
Le monde fut très vite réagi
Vivres, tentes et mains tendre
Les sinistrés bien soutenus
Un peuple solidaire généreux
Même si le drame était terrible
Avec sang froid on a fait l’impossible
Après six ans de ce drame
Chaque soir je composais un poème
Regret à tous ceux qui sont perdus
Doléance à tous ceux qui ont survécu
La vie nous cache des trous noir
Des impasses, des surprises tragiques
Un petit faible être humain
Ne peut rien contre son destin
Mais il a un cœur optimiste
Plein d’envie et d’espoir
Il oublie les blessures profondes
Un beau sourire lui donne victoire
Chaleur humaine merveille du monde
Chaque jour une nouvelle page
Malheurs et douleurs font un sage
Mille nuits de bonheur passent inaperçues
Une nuit sombre entre dans l’histoire
Vingt-et-un mais deux mille trois
Page douloureuse dans notre mémoire
Dieu merci les gens viennent d’oublier
Belles fleurs soleil d’or de sabliers









