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ÇÈæÏÇÑíä 30-01-2015 04:37 PM

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La Casbah d'Alger

Adossée au massif du Bouzaréah, au nord d’Alger, la Casbah tire son nom de la citadelle qu’édifia en 1516 le corsaire turc Khaïr al-Din. Par ses ruelles tortueuses coupées d’escaliers, par son architecture à la fois turque et arabe, militaire et civile, la Casbah d’Alger constitue un type unique de médina (ville musulmane). Elle est, à ce titre, inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1992. Haut lieu de la vie économique algéroise aux XVIe et XVIIe siècles, abri des résistants pendant la guerre d’Algérie, puis repaire des activistes des groupes islamistes armés en 1990, la Casbah contient entre ses murs toute l’histoire contemporaine d’Alger. Malheureusement, elle tombe en décrépitude, et le violent séisme qui toucha les côtes algéroises le 21 mai 2003 contribua à fragiliser les bâtisses de ce quartier populaire, réputé pour son histoire et son grand sens de la communauté
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Campement touareg Sahara
Unies par leur langue le Tamashek, leur écriture, le Tifinagh, et la pratique de l’islam, les populations touareg sillonnent depuis des siècles le Sahel et le Sahara pour le commerce et la recherche de pâturages. Les « hommes bleus », appelés ainsi du fait de leur voile de couleur indigo qui déteint sur leur peau, n’ont cessé de fasciner les pays européens -notamment la France- depuis un siècle et demi, en même temps qu’ils les combattaient pour la conquête du Sahara. On admire leur fierté, on s’intrigue du raffinement de leurs arts, de leur tradition esclavagiste, ou de la structure de leur société proche du matriarcat. Selon la légende, les hommes porteraient le voile depuis que leurs femmes, furieuses de la défaite de leurs maris contre le peuple Chamba, les ont condamnés à le porter à leur place. La réalité du peuple touareg est moins dorée. Depuis que leur territoire a été morcelé entre la Libye, l’Algérie, le Mali et le Niger lors de la conférence de Berlin de 1885, l’indépendance et la vie des communautés touarègues a souvent été menacée. Les derniers grands faits d’armes remontent aux années 1990, contre les gouvernements du Niger et du Mali.
Les monts du Hodna
Situés au nord-est de l’Algérie, les monts du Hodna forment une ligne parallèle à la côte et culminent à 1 900 m d’altitude. Cette région est essentiellement dédiée à l’agriculture et à l’élevage des moutons. Maraîchage, arbres fruitiers, blé, raisin et olives rythment les petites parcelles de terrain. Les forêts d’oliviers, de cèdres et de chênes qui occupaient autrefois ces versants sont désormais clairsemées, et laissent un sol usé par l’érosion et le surpâturage. En 150 ans, l’Algérie a perdu près de 40 % de ses forêts. Le climat continental semi-aride de ces montagnes voit se succéder étés secs et chauds et hivers rigoureux. Les précipitations atteignent 700 mm à 1 000 mm par an sur les reliefs. Phénomène rare, une neige abondante est tombée sur la région au début de l’année 2005. Aux dires des habitants, ce fut la plus importante chute de neige depuis 60 ans – un paradoxe en ces temps où le réchauffement climatique figure au premier plan des problématiques mondiales. Mais les météorologues affirment que ces phénomènes extrêmes ne démentent en rien le réchauffement. À long terme, ils prévoient une fonte des neiges très précoce en haute montagne et une diminution drastique des précipitations neigeuses en moyenne montagne.

Le site de Jabbaren
Le site de Jabbaren se présente comme une ville avec ses grandes avenues perpendiculaires, ses places, ses multiples rues et ruelles... Jabbaren est l'une de ces plus importantes "forêts de pierres" du Tassili N'Ajjer, parc naturel inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1982. Leurs paysages présentent toujours un aspect de grès buriné, érodé et sculpté par le vent, le sable et l’eau. Mais leur intérêt n’est pas qu’esthétique ou géologique. Le Tassili N’Ajjer est un des plus vastes ensembles d'art rupestre préhistorique du monde. Plus de 15 000 dessins et gravures permettent d'y suivre, depuis 6 000 av. J.-C. jusqu'aux premiers siècles de notre ère, les changements du climat, les migrations de la faune et l'évolution de la vie humaine aux confins du Sahara.

Le Sahara Algérien
La beauté du Sahara, son immensité, ses paysages de sables et de roches attirent aujourd’hui un nombre toujours croissant de visiteurs (+ 20 à 25 % chaque année). Si le Sahara est immense, il est aussi très fragile, comme tous les milieux extrêmes de la planète où végétaux et animaux sont à la limite de la survie. Dans de tels environnements, où rien ne se dégrade, le tourisme est toujours une menace. Ne rien prendre, ne rien laisser derrière soi, telle est la règle.
Le « barrage vert »
Le désert occupe 85 % du territoire algérien, soit 2 millions de kilomètres carrés au sud de l’Atlas saharien. Les 3 % de terres cultivables sont concentrés dans les plaines littorales du Nord. Pour les protéger de l’avancée du désert, un projet spectaculaire a vu le jour dans les années 1970 : le « barrage vert ». Cette gigantesque opération consistait à planter une bande forestière de 4 à 25 km de large sur 1 200 km de long, entre les frontières tunisienne et marocaine. Seuls 160 000 hectares des 3 millions prévus furent effectivement boisés entre 1974 et 1981. À Hassi Bahbah, située à 54 km au nord de Djelfa, la muraille d’arbres semble résister, mais nombre de secteurs sont aujourd’hui desséchés, troués par les coupes illicites de bois, ou ravagés par les chenilles processionnaires du pin. Faisant fi du conseil des agronomes, les militaires responsables du projet avaient en effet opté pour une plantation monospécifique de pins d’Alep. Depuis l’an 2000, engagé par la ratification de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (1994), le gouvernement souhaite à nouveau renforcer et étendre le « barrage vert » sur 3 millions d’hectares en améliorant et en diversifiant les plantations.
La vallée du M’Zab
El-Atteuf, Bounoura, Melika, Beni Izguen et Ghardaïa forment la pentapole (ensemble de cinq villes) de la vallée du M’Zab. Organisées en confédération, elles furent construites au XIe siècle par les adeptes d’une conception rigoriste de l’islam, réfugiés dans cette vallée du Sahara, à 600 km d’Alger : les ibadites. L’enseignement religieux tient toujours une place essentielle dans la société mozabite (du nom de l’oued M’Zab). Un conseil fédéral de religieux (Halka des Azzaba) régit les huit villes ibadites (la pentapole, plus trois villes plus récentes). La Halka constitue un pouvoir islamique collégial unique au monde. Il est chargé du strict respect des préceptes de la doctrine ibadite, du règlement des différends et de toutes les questions touchant à la vie de la communauté : du poids d’or donné en dot aux femmes à la durée des cérémonies du mariage en passant par la terrible « mise à l’index ». Mais depuis la découverte de pétrole et de gaz dans la vallée, les villes du M’Zab sont devenues la plaque tournante du Sud algérien, et il est désormais plus facile, pour les ibadites, de transgresser les nombreux interdits de leur communauté.
Oued el Hamiz
L’urbanisation rapide de l’Algérie, couplée à l’absence d’une politique de la ville durant ces trente dernières années, a favorisé le développement de l’habitat non réglementaire, ou gourbi. À l’origine, le gourbi était la petite maison sommaire des campagnes algériennes, presque une cabane ; par extension, ce terme désigne aujourd’hui les bidonvilles du pays. La capitale compte entre 2,4 et 4 millions d’habitants, dont une large part s’entasse dans les taudis du centre-ville. Mais les bidonvilles s’étendent de plus en plus loin en périphérie, au point d’empiéter sur les terres agricoles. Ainsi, un gourbi s’est développé tout au long de l’oued El-Hamiz, et la rivière lui sert d’égout à ciel ouvert. Bloquée par les propriétés privées, son extension linéaire est cantonnée aux rives de l’oued, classées non urbanisables par les pouvoirs publics. Les conditions sanitaires y sont déplorables et les habitants souffrent notamment de graves affections cutanées. La pollution des nombreux oueds est un problème de santé publique majeur en Algérie.
Aïn Touta
L’ancien village colonial de Aïn Touta, créé en 1872 à 35 km de Batna, est aujourd’hui devenu un bassin agricole important de 34 000 habitants. Le rapport à la terre est un élément déterminant de l’identité collective algérienne. En effet, durant la colonisation française, près de la moitié des 7,5 millions d’hectares de surface agricole utile a été confisquée aux propriétaires pour être octroyée aux colons. Après l’indépendance, la réforme agraire provoqua une crise de la paysannerie et un exode massif vers les villes. Mais depuis le début du XXIe siècle, l’agriculture est devenue un nouveau moteur de la croissance. Contribuant à environ 12 % du PIB, elle emploie 25 % de la population active. Cela reste pourtant insuffisant et l’Algérie doit encore importer des produits alimentaires : céréales de consommation, lait et produits laitiers, huiles et graisses, sucres et sucreries, ainsi que les produits de la minoterie.

Le Tassili n’Ajjer
On trouve au Sahara de très nombreuses tombes datant du néolithique (période s’étendant de l’apparition de l’agriculture, il y a environ 10 000 ans, jusqu’à l’invention de l’écriture il y a 5 000 à 4 000 ans). Ce sont le plus souvent de simples sépultures recouvertes d’un amas de pierres homogènes, le tumulus. Dans le Tassili n’Ajjer, ces tombeaux à enclos sont particulièrement nombreux. Les plus anciens datent d’environ 5 500 ans. Systématiquement creusés sur des collines, ils se repèrent de loin. Un premier cercle entoure le tumulus sous lequel se trouve la chambre funéraire ; un second encercle l’édifice tout entier. Seuls les hommes y sont enterrés, couchés sur le côté, la tête vers l’orient. Le Sahara est riche de milliers de documents gravés ou peints plusieurs millénaires avant notre ère, qui font de ce désert le plus grand musée à ciel ouvert de l’époque néolithique.
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ÒåÑÉ ÇáÇÑÌæÇä 04-02-2015 02:03 PM

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*äÌÇÍ* 20-02-2015 05:21 AM

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ÇáÓÇÚÉ ÇáÂä 07:58 PM.

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