« Mémoire d’une vague »
14-04-2007, 03:48 PM
mémoires d'une vague
a mon amie francoise la canadienne
a mon meilleur pote oussama saad el dahirir
« Mémoire d’une vague »
Les vagues s'écrasants sur ce rocher hideux
Dans les éclaboussures je revois t'es traits fabuleux
Et la mer cris, enragée me rappelle nos vœux
Le ciel te pleurs, voilé d'un gris presque ténébreux
Et je me souviens de ces jours avec toi
Peux m'importé car tu été avec moi
Quand on avait rien que l'amour pour toit
Quand tu été ma reine et j'été ton roi
Je me revois encore caressant t'es doux Cheveux
Et ton sourire aux lèvres disant à mes peines adieu
Ah bon dieu comme on étaient heureux
Heureux comme deux colombes jouant dans les cieux
Toi ma boussole, mon guide vers le chemin droit
Toi qui dans mes jours de défaite était mon cheval de Troie
Je lève mon verre rempli de mon sang et je bois
A ceux qui un jour, comme nous ont eu la foie
Je sais que nul ne revient de ce voyage périlleux
T'avais promis pourtant que toujours nous serions deux
Tu n'est plus la, et rien n'a de sens en ce monde creux
La vérité est que je ne peux pas te dire mes adieux
De ce nuage où je m'étale j’entends chanter tous bas
Des frissons traverse mon âme et mon cœur bat
Envoûté, je me perds et je n'entends plus que mes pas
En vaine je veux te revoir mais hélas je ne te vois pas
Fin
سمير من شعراء المدينة
a mon amie francoise la canadienne
a mon meilleur pote oussama saad el dahirir
« Mémoire d’une vague »
Les vagues s'écrasants sur ce rocher hideux
Dans les éclaboussures je revois t'es traits fabuleux
Et la mer cris, enragée me rappelle nos vœux
Le ciel te pleurs, voilé d'un gris presque ténébreux
Et je me souviens de ces jours avec toi
Peux m'importé car tu été avec moi
Quand on avait rien que l'amour pour toit
Quand tu été ma reine et j'été ton roi
Je me revois encore caressant t'es doux Cheveux
Et ton sourire aux lèvres disant à mes peines adieu
Ah bon dieu comme on étaient heureux
Heureux comme deux colombes jouant dans les cieux
Toi ma boussole, mon guide vers le chemin droit
Toi qui dans mes jours de défaite était mon cheval de Troie
Je lève mon verre rempli de mon sang et je bois
A ceux qui un jour, comme nous ont eu la foie
Je sais que nul ne revient de ce voyage périlleux
T'avais promis pourtant que toujours nous serions deux
Tu n'est plus la, et rien n'a de sens en ce monde creux
La vérité est que je ne peux pas te dire mes adieux
De ce nuage où je m'étale j’entends chanter tous bas
Des frissons traverse mon âme et mon cœur bat
Envoûté, je me perds et je n'entends plus que mes pas
En vaine je veux te revoir mais hélas je ne te vois pas
Fin
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