... J’écris pour ton plaisir Reine Sabti seulement et uniquement
29-07-2017, 09:41 AM
**I love you more REINE SABTI than any one does.**


GENRE DE LIVRE /



Un assortiment Algéro-Maghrébin des poèmes traduits en français auprès des poètes d’Algérie et les pays maghrébins.

TITRE DU LIVRE /
J’écris pour ton plaisir Reine.

PRÉFACE

L’homme est définit par son entendement, ce dernier est une altesse dans le monde de la créativité, de l’innovation, alors mon lecteur n’es pas en littérature et ses filles, donc l’une de ses filles est la traduction où elle n’est guère une transmission des mots en mots différents en écriture, vocabulaire , conjugaison ou grammaire par contre elle est constituée sur la base de créer une autre vie d’une personne dans une autre en épanouissant sur tout étant beau et merveilleux…et ça avant de vous sentir à plus forte raison de vous porter mon lecteur au cœur de la traduction
Il faut d’abord de vous amener la sensation amalgamée et mêlée par l’esprit de traducteur avec le poète de texte original…

Alors mon lecteur on vient à l’autre fille de littérature ayant une meilleure corrélation avec la traduction c’est :
La poésie,

On la distingue par la parabole de Taoufiq AL-HAKIM…

La poésie un miroir de la vie ; où le poète voit son âme et son esprit, alors que le poète est une lune ne nous donne guère la vie en sa brûlure, au temps de sa clarté comblant les yeux, par contre il attire un peu de ses rayons et les filtrer à travers lui-même …
Ensuite, il les expose et les distribue telle une splendide lueur, bien arrangée, agencée, aisée pour les yeux, approfondie, un entendement ; camarade pour un cœur solitaire…

Elle joue un rôle très nécessaire pour monter au fur et mesure sur l’échelle la bonne décision dans la vie alors que ses leaders sont passés par des circonstances et des essais
Et là quand évoque Cicérone qui dit *Une maison sans livre, un homme sans carrière*…

Même si le poème est écrit en langue d’origine lointaine de français…

C’est-à-dire que son lecteur va l’importer à son esprit avec un sentiment d’un environnement pareil…que pensez-vous alors si ce texte étant plein fantaisie, parfois d’un style direct, ou abstrait, ou d’inventer une fable miraculeuse dans notre présent et là on peut rappeler Paul VALLERY :
*La poésie est une langue dans une autre*…sera écrit dans une autre façon dans une autre langue que vous l’aimeriez beaucoup…

Je ne veux plus de vous quitter sans raconter une maxime littéraire : si les vers comme tout le monde savent sont une réflexion, je dirai qu’elle est des sensations…

Alors lire le bouquin et rendez-nous votre avis….

Les salutations distinguées du Poète-Traducteur Salim REGAMI

Merci













Le poète : Mourad BENMANSOUR





Une vision

Idem tu m’a vu en visite un Saint, on dirait une gazelle enfuit de son gladiateur ; tu peux imaginer cet état où le lieur de vision ainsi son black-out furent comblés et amassés par les spectres de cet univers….


La chaise est provoquée par l’éclat au-dessous de moi par des bougies faites de la soie….
Presque je tombe dans ce monde sombre…
Ceci …décombres…
Une basilique décroît et moi dans les bras des gravois….
Et je vêtis ma figure…
Je fus cool, où je donnai une image fatale sur les fenêtres et n’es pas le clergyman que dans l’immédiat ne cesse à jamais le discours…

Vas y déclare…

Ô Monsignor…
Je ne suis qu’un être venu des hauteurs des cieux…
Admettons que je sois un opiniâtre, les pieux, couverture, et les pierres…
J’ai pris la piste à plus forte raison la parole ou l’entrée dans la scène sans savoir…j’ai crié au moment où mon bourg festoie de sa mort…

Mon Saint…
Afin de vous en informant...que je suis en accablement…
Notamment…Les itinéraires…les tombeaux…et les eaux des oasis en plein air…


Vas-y plus de déclaration…

Je fais comme je sors de mon cœur en criant huée ….
Dans la paix éternelle…
Tout aspect, toutes étoiles…
N’attend plus…
Les pierres engendrent la flamme en colère
Malheureusement brisée…
Dans la paix…
Si j’adopte ces cinq attitudes d’autant plus : des spectres, une boussole, une mer dans mes mains telles une cher d’un pigeons…
L’ennui d’un homme clair et une peine…
Je n’attendrai guère….désormais l’entendement est meurtre.


Vas y explose ton cœur…


Toutes les miettes sont pour le Dieu,
Ses propres noms prodigieux…
Et un poète, son âme est la lune…
Et un penseur n’a rien que ses cervelles…
…………rien à dire………..

Adam est plus grand sur n’importe blessure et fêlure dans cet univers…

Un abat, de dieu

Rien à dire où le désir d’un gamin maladroit…la dance me perturbe mais la chaleur de malheur me couvre…


Vas-y trop loin en déclaration…

Les mains d’Antre sont aux fers, mais aux belles tresse des belles jouvencelles en temps que je voie mes mains des vallées et des déserts..
Je crie jusqu’au le voile va disparaître et chandeliers jonchent la lumière…
Ni le Saint, ni la vierge…
Une fable…
Oudis…ne marque guère l’arrêt aux ses combats avec les enchanteresses…
C’est pareil à moi-même malgré ma bougie, je m’accoutume à la nuit obscure…

Je ne déclarai…

La chaise est plein de pleurs…
Ça me répand au cœur…
A l’aventure j’ai comporté mes apparences
Afin d’aboutir aux confins d’un pays rare, mon rêve frappant et la paix…
Et pour être mon moi-même…
J’ai restructuré mon existence dont je serai un aède hérite la terre…
Rétablit son endroit plutôt sa ville…


Vas y…déclare…


Je suis gêné dans vide non occupé que par les sangs coulants et un nez désobéissant…
Et une nuit s’assoie sur les fables chaleureuses volant entre les miraculeuses roses…

Alors

C’est le brouhaha que nous démesure…et couvre…
Une banqueroute hérite un désastre…




******************
















Joseph et le loup

(Joseph et ses adversaires)


Je reviens ce jour..
Pour battre mon ombre

Il fut à la prière au moment où il souffert de ses blessures…

Idem

Y a-t-il des beaux jeux dans le poème…
Afin de récupérer une forme de feux
Un beau visage, c’est déchiré par les loups…
Ceux feront la prière aux flammes bleues…
Et un cœur ne sombre pas par les mielleux mots, vœux, et noms des fleurs…


Ô Loup…viens..

Ne fuis pas
Pour tricoter sur les tissus de ces ères des beaux souvenirs…et écrire un poème et partir…
Cependant Joseph, son ombre reste réduire quand il chante sur la terre…que ses yeux pleurent…



Je reviens ce jour
Pour exciter à donner …surtout que dans mes mains quelques moments pour réserver à la vie autre sentiment pourtant…je n’ai qu’un morceau de pain, cher de l’un des sauvages animaux, non propre vêtement, et une pierre…
Me fragmente en deux sons en une haute colline..


Je reviens ce jour….

Notamment ; s’il n’y a pas que la fugue de ce mauvais abri…
Les abris des mers encastrées…
Attendre…
C’est le visage de Jacob d’où j’ai réformé mes doigts en flambeau exporte un monstre feu pour arracher mon cœur et les loups aboient…


Je réveille…
Dans la rue, je suis tué par son ombre pareil…de ce de Joseph dont je furète…
Pour démolir la pierre en lumière…
Et insulter l’abat médiocre dans cette nuit lugubre
Une bougie se tient debout où les loups furent sinistres dormant à l’exorde de bourgade…
Et corrodent les cris…
Et les chemins nous affaiblirent…


Joseph se met debout…
L’aboiement des loups…


Le poète : Idris ALLOUCHE…


Je n’ai rien à dépenser…



Septembre, les trous de cet ère…je le trouve on dirait heureux…
De mon besoin en colère…
Malgré le proche et le loin en concours perpétuel afin de venir à bout pour aboutir…
Jusqu’à quand je reste un adepte de la faillite…pour mettre la délinquance devant le concret aigre..
Et les corridors de l’inconnu, vers les jeux de lumières éteints, mes livrets racontèrent en plein air…

Pour quoi la nuit n’est guère allègre…par le cher style des astres tel un bouquin des terres de demain et un clef au vive mémoire..

La nuit es l’essence des êtres fugitifs des bruits de jours…
Que je suis ivre…c’est le mystère…
Qui prévoie l’abattement de ce monde sans commettre une rixe froide…

La guerre est un casque jeté aux arènes d’une boîte de nuit…
D’où le salut un soin calmant importé de désert nu…
Je suis apeuré du bec de la besogne..
Chaque mise sur les asiles des poissons extraordinaires et la vie aux fonds des mers…

Je l’évite grâce à un pied unique, je délaisse l’applaudissement à l’inoccupation farouche, fine avec les partisans d’un état de tiède peine…






























Mots très croisés…




Une abeille …
Fait un assortiment des lettres des miels des forts lieux dans des sacs –livres- de littératures…..
Quand il esquive à la table de bois du café du « Vieux-Port »…
L’arcane du beau matin, le captive, il a été à la recherche de l’allégorie de ces démêlés….

Rêverie de cet univers…par le fait d’à tort et à travers…
Malgré l’ivresse de l’hiver…

Elle s’appose au-dedans de l’abîme de journal rare…

Une abeille…

Que les armes, les fortes compagnes des mots croisés
Causent la ruine devant son céleste talent…

D’aplomb…
Et un autre sur le quai de l’horizon …

Non de différence…
Sa transgression s’emploiera afin de remplir les carrés de rien…
Et des charades quasi ambiguës…
Elle a un songe d’une plume avariée…

Pour conclure l’écartement de la page par un tremblement…
Et l’isolation par le frisson…






























Des autres chaussures




C’est le seul et le rare…surtout
Quand il m’arrange beaucoup…
En marchant dans le sillage de l’hiver sans doute…
Les erreurs, les obstacles d’aboiement des fouilles me conduisent à aiguillonner mes
doigts à pleurer le sang..

Je suis ignare des ruelles n’ont guère de cabale…
Les chaussures d’autre monde sont faites peut-être de divers chers…mais l’important…
Qu’elles viennent à mon aide dans les routes et les bourgades…

Ces chaussures me quittent plusieurs fois afin d’installer sur « la Notre-Dame », « Vésuve », « speakers Korner », ou les gigantesques esplanades de « Ibiza ».

Il y a des personnes ne comprennent guère la majesté de jour de telle façon que ses chaussures ne cessent à jamais de rire…

Cependant les autre chaussures marchent avec plaisir…vont vers un chemin noir…








J’ai mal à la tête…



Les maux de tête
Donne le conseil à la tempête
En commençant de jeter ses racines au début de nouvel an…
En tenant un comprimé de « paracétamol »…

Comme un rencart d’ennui surréel envahissant…

Aussi..
La toux ôte, débroussaille, en mettant la barrière en avant de sommeil du soir…
Enveloppée par la bataille étant entre le sang et la carrure…

Il enfuit des tintamarres des galas carient toute carrière…

Des embarcadères ivres de passion par ses chaussures…
Elles sont devenues un asile pour la poussière…
Il manœuvre des façades qui captent des désirs de son avoir des trucs rares…


Les maux de tête, une distance entre la neige de cœur et l’illusion de mirage…

Il est douteux dans le reste de file de sagesse attaché au cœur de bougie qui baisse ses billes…

En appelant l’aide des cloîtres des nuages où la nuit en mise son rideau sage…


Le plafond du balcon et hirondelles abandonnent à une autre saison…

Et l’agent de la poste qui est à l’accoutumée et qu’avec les nouveaux amis a renoncé la boîte aux lettres en laissant des aspirantes épîtres en déguerpissant avec les brises de l’air…























Le Poète : Rédha DIDANI



Tout simplement …c’est moi….




J’ai insisté ce jour de parler au nuit lugubre…
Je me suis proposé un questionnaire…
Pourquoi dans ton arrivage tu es toujours retardataire…à l’égard de jour..
Elle me fut entourée totalement tel un djinn tue pour vivre immortellement….

C’est la seule
Me met en avant du fait accompli dur lorsque je me posai derrière sa clôture…et appris ses mystères…

Alors, j’ai déformé son désespoir…
Comme un astrolabe d’un guide voyageant aux contrées froides par un traineau tiré par les chiens…









L’argile….




Bonhomme, Mathématiques, craie….

Je me représente sur un repère dans un tableau noir…

C’est la courbure…
Plus approchée à mon dos, ma voix, roule comme une pierre plutôt un point sur un axe de plafond…

Et moi j’essaye de dormir grâce à mon jour…
Ne mettre pas l’opinion à la pierre,
Un gobet de café presse sa vie, sa foi..
Pour une idée entre les doigts…
Dans ton soupçon, il y a des questions d’un garçon…

Je l’attends, même si elle est à l’attente de la mort…
Un déclin, un passage
Un corps avec la douleur…
Qu’il partage…
Et elle ne vient guère..
Je suis allé et je suis venu dans l’élégance de corps…
Un livre des ancêtres ainsi que une carrière…par rapport à eux….
Mais n’es pas que les vieux ont des entendements mûrs…
Comme ça…il a entretenu son argile avec son livre dans une foire de l’art via un film dans une salle de cinéma…



Même si….



C’est le silence qu’il préfère…
Il est mon avoisinant dans les déserts de « Nadjer »…
Je suis son avoisinant dans les déserts d’ « Alaska »…
Sans achever le discours…
Il a su correctement que je vus,
Il était vif…avec un gobet de thé sous une hutte de neige…
Et moi…avec un gobet de thé sous une tente de linge…
Avec la musique de l’ « Imzade »…

Pendant l’entretien je le déborde quand il me démesure en tant qu’il est meurtre…

Trois chameaux, ou chamois…

Je marche, je compte…il a été aux mes aguets…
Ces êtres ont pris l’itinéraire…

Au fait…cadavres…trois beaux animaux…tués sur trottoir…

Les fenêtres ne se chancelèrent…pas de souci surtout que l’ombre reste à battre…

La lumière est un grand professeur…





Ennui



Un gabarit vers les terres de l’être humain caucasien, un papier argenté cher encre d’or…
Rien à faire…

Notamment une corvée à cause d’un mauvais style d’écriture…
Reste me abîme pour une raison difficile à comprendre…c’est sa poussière s’arrange et moi je partage la cause…

Une page d’argent mon buste que chaque matin il ya de couloir clivé presque nul et désert…

Je m’interroge tout simplement de pourquoi cet ennui durement prend vers le médiocre jeu…

Vers l’infinie, qui navigue sur le bâtiment de guerre de sa fumée de son bombardement…

Le flibustier n’a rien à avoir tant les astérisques ne répondent guère…c’est le dessous son avoir….








Enoncé des mouchons….



Lance-toi dans ces brousses de verdure….
Un tigre…un phénix…ou un convoi plein de mouchons…
Où…

Je rends mon attitude de ton son nu…
Charmant un bracelet aux mes mains…
Et je serai amusé par les petites paroles des perroquets…sur le destin de leur quai
Faire rappel à mon entrée et allonge-toi sur leur marbre…
Même si je rentre…je tous omettrai et je convaincrai mon corps pour avoir une aise…

Mon corps me brûle très fort…
Je demande le conseil fort…pour un texte qui me rattrape…
Le corps se démolit au fur et mesure…
Et tourne aux tours d’un carrefour dans cette forêt peut-être afin de chasser de qu’est que je vais nourrir mon mode de vie et ainsi que de ma pensée…










La poétesse Samia BENASSOU



Ce qui est écrit aux mes marges….


La nuit


Je suis à bout, je plie les heurs de nuits….
Et j’ordonne les astres au tout bord…
Je chancelle un corps sur les cordes de calme…
Et je vais trop loin d’assoir les cadenas du temps nègre…
En espérant de trouver derrière les portes closes ce que je cherche…
















Bruine…



Je vais écrire un peu de dire de tes yeux…
De cette belle nuitée….
Aux tours de ta peau brune…
Aux tours de ton fabuleux sourire…
Pour la vallée des forêts dont ses jujubiers…
De la magie dort entre tes meilleurs mots…
De bruine s’étale avec la neige s’installe…
De joie, de gaieté animent entre tes bras…





















Masque…


Du Zéro, je débute le compte…
Un, deux, je n’arrête plus jusqu’au je découvre une figure et l’autre est multi figure…



























Ce jour contre l’optimisme….



Désormais, nous sommes séparés…
Pour moi,
Et pour toi,
Ô ayant les mirettes malheureuses…
Il faut divorcer…
Ce n’est pas la peine... ardeur…et passion et pour toi je ne convertis guère…ne pardonne guère…
L’accolade …Oh tu n’aurais guère…





















Le vent….


Pas de saison pour la moisson ….
Pas de vent…
Je trichai l’idole et les idolâtres…
Ce qui en train de nous observer…

Je t’attends
Tu n’es pas rencart pour moissonner
Ma cacophonie
Votre route dévie sur les enjambées de la destinée…





















Le corbeau….


Est le calme…par contre suis-je la calme…
Ô la nuit…
Où mon ennui est dispersé…
Où mon insomnie est promenée…
Où mon invariabilité est en forme de flamme…
Ô la nuit extrait son malheur de mon esprit…
























Le cimetière…



Soumise sous la contrainte des affres de suicide…
De la mort …et l’entrée à la tombe …

Pardon…

La fin… le corridor est solitaire au long ou au court terme…






















Le visage…




Le visage et l’autre sont séparés…
Et avec le sourire désorientés…
Il me fait tergiverser, et la route est plein de sentinelles et moi…

Mes mains sortantes de les siennes…
Les pas furent
Dans les ruelles de temps …
Dans tous points de l’intervalle de la vue…



















L’isolement



Je suis le cachet de l’isolement…
Il est laborieux en but de me capter de ne le délaisse à jamais…

Il abroge mon intelligence…peu son contre-jour…
























Je m’isole….


Seulement…
La réticence annihile avoir faim dans mon esprit, mon envie, la donne le nu et le mur de ma vie…



























L’eau



Impossible en deux…
Pareil à deux ailes rapinant…
En grain à plus forte raison en goûte d’une eau…

Un germe d’ardeur et deux autres d’apitoiement…
























Le poète Abd-Eddaïm AKOUASSE



Les récits de l’air…



En naviguant vers les poèmes…
Et les sens non la ferme…
Courant entre les carnets…
Et les moments prennent la flamme…
N’es pas les cimeterres des locutions fermes…
Coupant, une grande peine…
Frappant, puissance de vent sur « seine »…
Un traitement pour blessures, de fait n’existe que sur les nues parfaites…
Noient en lieur des stars…
Perdu entre deux « by gone » éternel
Envahissant entre deux miracles
Etre dans images magistrales..
Un rêveur et un rêve une eau, un ménestrel…
Ma lyric est de courbature et pour la vie un amour…










Ange


Un ange, un souvenir et un bouquet de fleur de désir…
Tend les mains de son odeur vers l’ange afin qu’il l’enserre…
Et une extravagante fin avec une fille attirante…
Et une histoire, ange, trésor, et histoire…
Voyagent dans mon corsage par-ci, par-là…
























Sur l’échelle de la vie…



Je monterai vers la rencontre des champs avec l’odeur de mon âme et les fleurs…

Selon mon souffle dur…
Un ambassadeur de la tristesse du matin avare…

Je monterai jusqu’à la fusion de la terre avec les blessures…
Et jusqu’à la cohésion de l’existence avec la fin du monde…
Tous ensembles pour le violon battu…

Je monterai
Sur le discours, si dans le désastre,
Un poème et sur le tissu de cette époque glacée telle une flamme de flambeau ou de sanctuaire…
Et je monte sur toute tempête…
Je monterai sur la colline de dommage, l’absence, mirage…cette force…

Et je bâtis mon tombeau tenace…








C’est moi



Je ne sais guère mon soi
Je vous connais tous…
En vous portant la gratitude vivace…
J’allume ma cigarette

Je jette le Dé et je mesure mes calcules…
Je déploie, j’ouvre le dictionnaire qui est cher
Et je déclare à tout qui est en fiction que je suis dans le poste adéquat…




















Ambition…



Dans ses yeux….
Le monde ni jeune, ni vieux,
Et une mappemonde plie et une autre réformée…


Dans ses yeux…
Un espoir est honteux…
Perdu entre l’allée et le retour…

Dans ses yeux…
Un enfant court derrière le soleil d’arrache pieds…

Les nuées plafond, il est pour le Zéphyr un roux écharpe…

Ses yeux sont épanouis
Ses joues, ses mains
Il se peut créer un petit soleil…


Dans ses yeux
La lune n’arrête guère de décerner des sourires et embrasser l’enfant rêveur…


Dans ses yeux…
Un désir au-dedans de la vierge, il ne s’affaisse que par occasion sage…


Dans ses yeux…
Ne cherche beaucoup…
Tu vas trouver les collines en verdure…
Ta gueule, l’eau et sa naturelle saveur..

Le fantôme invisible achemine vers ses yeux, il passe mais sans demeurer…

























Le poète : Ahmad ACHOURI.



Un gros apitoiement…





Quand j’ai apposé ma tête sur ton buste
Rien d’odeur que ton parfum ivre
J’ai abîmé dans le sommeil…
Notre bourgade, poussins, cigognes, et la maison…
Tu ne voix les pins qu’en suprême…
N’es pas ; les collines et les pâturages des mûres…
Pas d’un bel aspect d’oiseaux où les chardonnerets reviennent
Pour reconstruire leurs ni…

Ô, mon puis tu me manque beaucoup, puis ça je suis tombé
Dans ton cœur afin de trouver une demeure pour que je pleure…
































Parmi les chants des marins





Rien de bleuissement ici…
La mer est bleue…
Le ciel est bleu…


Les lacs sont de couleurs telles de mauves fleurs…
Les billes des jouvencelles sont touchées par la plume de clair ciel…
Les fleurs des champs se colorisent par les marguerites…


Le bleu, cette couleur enjolive la plume gravant une missive
Envoyée sur une branche massive…




































Les fermes rares…c’est le laboureur



Fleurs rares
Dans un bassin en pierres
Dans une cage en fers
Attachent les racines d’arbre
Un peu de ça tombe par terre..


Un matériel ordinaire aux bouts de labour
Des tirs en fers
Des collines ensemencées par le cèdre
Un champ unique

Des arbrisseaux d’amande abusent fortement…
Des blanches fleurs grandissent auprès les sources des sueurs…


































Pas de déclin, pas de pigeons




En fin de journée
Qu’avec le soleil qui chancelle
Les pigeons prennent le ciel comme une arène…
Ils ouvrent ses ailes en plein air…
En moment où le déclin de soleil son sang coule en horizon…

Alors

Le garçon se tient debout …ne prononce aucun mot…









































Aux vallées de JIJEL




Et dans une ville ….un jardin
Où il n’y a qu’un arbre cher
Roux, blanc, rose,…,…sont les couleurs de leurs fleurs..













































A BÔNE…

Personne ne peut guère cesser la ronce en sa déraison ;

Personne ne peut guère cesser le rossignol en sa chanson ;

Personne ne peut guère cesser le poème d’aller au fond.











































Les oiseaux à BÔNE…




Ils volent quand il pleure
Ne prêtent guère attention ni aux auster,
Ni à la tornade et éclaires, navigant
Rien en son entendement
Ces oiseaux m’attirent énormément, qui volent sous la pluie,
mais ils me vacillent vraiment..











































Le fou et son ombre



Un long parcours
Et l’amoureux est debout
Dès le matin
Un cèdre que ces troncs vers le haut
L’amoureux est debout…
Il ne renonce guère jusqu’à midi…
Attend…mais

Après midi
L’ombre de l’arbre s’allonge et s’élargit à cet homme..
Il le couvre, ensuite il départ…







































Les jeunes filles en intervalle de nuit



Quels charmes rares
Quel soir se colorise par les fleurs
Et les rose de couleur claires
Quelles sueurs versées aux ayant soif
Dans cet été non-sinistre
Quels chevaux élargissant leurs pas dans les esplanades
Se courent vers les sources d’eaux célèbres…
Quels pâturages des biens d’ALLAH descendent sur notre terre
Qu’elles accaparent les alentours
Quels images, icônes …rien se fait beau que celles dans ce soir…








Le poète : Ali BOUZOUALAGH




Susurrations



Ô la reine couronnée par le bouquet des rêves
Ô la Djinn aux bords de ‘’seine’’
Venant de l’esprit des non-prospères
Ô une mémoire de l’hémorragie des bicoques
Ton visage est un immense vent qui est en train de retour
Ton visage capte les enfants de la colère des mers
Et mon visage les courtise devant ‘’ L’ARC- DE-TRIOMPHE’’
Ô un fruit vert en désir dispersé autours des cœurs des garçonnes et garçons
Dans les villes ou faubourgs..
Ô il n’ ya que le va-et-vient entre les extrémités de ‘’seine’’

Alors

C’est rien au soir des songes sauf que je mes ma tête sur le coussin.
Et au matin, c’est rien de visages, sauf que je suis en hémorragie…
























Un rayon de sa passion




Ô enfant son sang est un you-you
Ô enfant de son esprit nous faisons des emplettes de la noblesse
Ou arrachons la contre nuit…

Ô un fils aiguillonne les manières de ma fidélité
Ô ayant créé une autre façade d’ardeur

Toi-même maintenant …
Pour les bibliothèques de futures mémoires
Tu graves des miraculeux versets et puis tu vas mourir..

Toi-même maintenant …
Tu as pris en considération des regards
De ton amoureux et tu vas mourir
Idem
Tu l’embrasses bon gré mal gré
Dans l’échange des bisous malgré les chantages et tu vas mourir

Toi-même maintenant …
Les volatiles partent de tes paumes en déployant
Leurs ailes sur les monts d’ALPE…
En embrassant les profondeurs de prochaine figure…

Le paradis de Maman où les aubes coulent dans leur aperçu
Les yeux de Maman sont source d’eaux douces…
Qui nourrissent toutes les roses de cette terre
La tresse des cheveux de Maman, une flamme de feu..


















A ton avis…combien d’étoiles que j’ai




En ayant comblé par l’absence
Par la disparition d’ici et d’ailleurs
Et dans tes yeux des envies et désirs
Tu es venue pour aiguiser les valises,
Derrière un visage qui démontre les rêves
Ton inquiet humeur devient un théâtre pour les canaris amateurs…

Tu es couvert par le départ
Lorsque tu perds le bon sens du parcours
Lorsque tu es captivé par le désastre
Quand tu titubes

Quelle mer attire ton chagrin ?
Quel chemin vierge serait délié par les enjambées ?
Quelle astre serait-t-il détenu pour l’embrassa ?

On dit ;

Elle embrasse les fonds des poèmes…
Elle embrasse la sécheresse d’hiver
Elle embrasse la cadence des murmurassions des tendrons.
























Deux poèmes




Les célestes phrases le captent
Il courtise une rose qui amalgame les sites
Et démolit le vieux soleil
Et a abusé des bourgs défendus
Où il y aurait une balle visant sa tête
Il ouvre son bec et dégage un sourire et fleur
Qui suspendent des lances de ce lieu

Ô mon ami
Tu m’as trouvé un cadavre embrasse la cité de l’inconnu pareil à
Un signe de cette ère,
Tu m’as trouvé un bouquet de lueur
Un cadavre a démesurée la Douane de cet endroit
Et un autre dans la chapelle de prêtre...































La distance franche entre ces branches



Je ne vais pas trop loin
Mon visage, une image d’une forêt
Il se manque une goutte d’amour
Et ouvre ses portes, des rêves, et des désirs

Mon visage est un souvenir
Qu’il attend les sueurs

Je tends le tronc tel une émotion
Vers les astérisques illuminant la joie..
Je tends le tronc tel une émotion
Vers l’horizon qui délie les fleurs

Une mémoire des ambitions à plus forte raison des désirs des aires.

Je tends la branche en aube vers l’avenir de l’essence de songerie
Unie avec les ailes crève-la-faim.

Et puis j’attends

De l’enfance un grain de passion, une grappe de vert pomme
De mon rêverie suprême.

Idem
Qu’avec tous les désirs, tous les futurs Noëls ….je vais attendre…























Le poète : Mohammad-El-Salah ZOUZOU



Les désastres des brûlures…


Maintenant mon visage est une écharpe.
Ainsi, l’aperçu des montagnes existent sur une terre archaïque
Sa fin comme des désirs
Et ces derniers de début d’un vent rare,
Le brouillard ne me laisse guère puisque mon fond est en plein d’argiles, sables
Et les arbres blessés par le crime

Des poussins sortent vers la mort
Leurs linceuls, leurs chers
Des collines, un sapin porte sur ses épaules les soucis des nuages
Ils s’affaissent telles les feuilles d’amour
Chaudes et dociles
Pareil à un ombre qui me borne afin que je perde…






























Mon dire en angle disponible



Qui a égratigné les illusions
Ô, celle de beau bec
Ô, celle pareil à une abeille de miel
Ô, celle comme un chuchotement des bruines

Dans un corps de cannes et bribes des herbes
Le tronc alléchant entre l’apparition et la disparition
Entre les fruits et les palmes

Une image vierge débordée par l’horizon
L’aboiement est réanimé
Et le festin est suicidé
Sauf …

Mes mains visent un harpon aux flots de tes yeux

Ô, une véranda de besogne violée…































Une éternelle lance n’a plus de sens



Tu es revenue…
Des douleurs de déclaration
De soupçon âcre
De l’histoire d’olivier chancelé

Tu verses ton amour dans la mer celle n’existe que dans tes yeux…

Tu es revenue…

De la force de chant de rouge-gorge en tours
Des gorges des montagnes de désirs et d’amours
Tu abandonnes les nix étant en fatigue
Tu brises les fers aux mains
Des orphelins par les baisers…
Ils te mettent de dehors des nuées…
Trébuchent en raison de lumière instable
À ma portée dès le premier rayon…
Ils te désertent d’un piège de vent de mon sang…

Tu es revenue…

Quand l’apparition ne quitte guère ton air bohémien
Quand les cloches s’attachent entre les côtés des eaux

J’ai perdu ma gorgée
J’ai perdu,….toi-même…
Et une tresse de cheveux m’était entrainée…

Tu es revenue…
De la mémoire des prières
De l’obscurité de soir

Ô, celle de meilleure humeur bohémienne
Alors laisse-moi la parole
Je t’épouse les fils de soleil de basculement
De l’immortel rayonnement..














Enjambées……..


1/
Silence et poussière
Une fillette gouverne les chèvres…
Où, le jour branle dans ses yeux
Ses pieds s’enterrent dans ses démarches
Comme si elle abîme dans un gouffre dans un lac
L’extincteur, une cagoule de feu…


2/
Une galère d’un flibustier
Ses ailes sont isolants…
Une mer asséchée comme un squelette...
Et les plages, une forêt …abjuration


3/
Celle-ci est ma figure déprimée
Couvrez-la par les cartes
Jetez-la dans les miroirs abattus
En sacrifice aux souvenir
Pour s’établir dans les racines des tornades


4/
J’ai créé un trou dans le vent
Pour toutes les questions
Mon affaire tel un pied amaigri
Les ensorceleurs spectres
Les cigares enchanteurs
Graves et chers


5/
Je n’ai guère fait sortir mon doigt de mon oreille
Afin d’éviter l’ouï des frottements des masses

Alors
Que la pluie tombe et puis peu-à-peu
Le ciel déclenche son éclaire
Avec aigre lyrique de mon sang ne boycotte plus de se couler.




6/
Je suis gonflé par contraint
Et je me découpe en courbure
Comme fantôme vieillard
J’arrange les trucs de nature afin de naviguer trop loin
J’égratigne mes bûches bouillies au cœur de la maison
Afin de bombarder ma question


7/
Je taillai les ongles de nuit pour obtenir des nouvelles lunes
Puis
Je les ramassai par ordre
Et je aiguillonnai les seins des jouvencelles afin d’absorber le noir
Et remplir par l’attente mes lèvres.