Ministre tunisien de la Défense: « Nous avons une coordination sécuritaire commune avec l’Algérie »
05-11-2015, 04:15 AM
Imène Ailène / version française: Moussa. K
Le ministre tunisien de la Défense nationale, Farhat Horchani a loué l’importance des relations de son pays avec l’Algérie ainsi que la coordination et la coopération commune entre les deux pays en matière de la lutte antiterroriste, réfutant ainsi les déclarations selon lesquelles l’Algérie serait exportatrice du terrorisme.
S’exprimant mardi en marge de l’ouverture de la 33e session de l’institut de défense nationale, le ministre tunisien a affirmé l’importance de la coopération avec l’Algérie en matière de la lutte antiterroriste d’autant que la sécurité des deux pays soit intimement liée, en insistant aussi sur la nécessité de mettre en place un « système sécuritaire » permettant de faire face aux menaces qui guettent la Tunisie, et c’en prenant en considération des expériences des pays ayant souffert du phénomène. Harchaoui fait, bien entendu, allusion à l’Algérie qui a subi les affres du terrorisme pendant la décennie noire.
« Le terrorisme transfrontalier et transcontinental exige une coopération avec tous les pays y compris avec les États-Unis », a-t-il ajouté.
« La Tunisie n'a pas l'intention de permettre à aucun pays d'installer une base ou de mener des opérations militaires sur son territoire sous prétexte de combattre Daesh à la frontière de la Tunisie, pays souverain», soutient-il.
Des propos ont été attribués, faut-il le rappeler, au ministre tunisien de la Défense selon lesquels le terrorisme dont souffre son pays provient des frontières qu’il partage avec l’Algérie et la Libye.
Le ministère tunisien de la Défense a démenti ces propos dans un communiqué affirmant que « ces liens sont loin d’être impactés par des commentaires erronés qui n’ont rien à voir avec la réalité ».
S’exprimant mardi en marge de l’ouverture de la 33e session de l’institut de défense nationale, le ministre tunisien a affirmé l’importance de la coopération avec l’Algérie en matière de la lutte antiterroriste d’autant que la sécurité des deux pays soit intimement liée, en insistant aussi sur la nécessité de mettre en place un « système sécuritaire » permettant de faire face aux menaces qui guettent la Tunisie, et c’en prenant en considération des expériences des pays ayant souffert du phénomène. Harchaoui fait, bien entendu, allusion à l’Algérie qui a subi les affres du terrorisme pendant la décennie noire.
« Le terrorisme transfrontalier et transcontinental exige une coopération avec tous les pays y compris avec les États-Unis », a-t-il ajouté.
« La Tunisie n'a pas l'intention de permettre à aucun pays d'installer une base ou de mener des opérations militaires sur son territoire sous prétexte de combattre Daesh à la frontière de la Tunisie, pays souverain», soutient-il.
Des propos ont été attribués, faut-il le rappeler, au ministre tunisien de la Défense selon lesquels le terrorisme dont souffre son pays provient des frontières qu’il partage avec l’Algérie et la Libye.
Le ministère tunisien de la Défense a démenti ces propos dans un communiqué affirmant que « ces liens sont loin d’être impactés par des commentaires erronés qui n’ont rien à voir avec la réalité ».
