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02-01-2011, 08:36 AM
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Dactyle : mesure des poètes latins qui comprenait une syllabe longue et deus syllabes brèves et qu’on peut retrouver en poésie française

Dada, dadaïsme:en pleine guerre de 1914-1918, protestation de jeunes rassembles en suisse sous la direction de tristan Tzara et farouchement destructrice. Elle niait tout :… la société,
L’art lui-même ;(plus de peintres, plus de littérateurs … enfin assez de toutes ces imbécillités, plus ries, RIEN, RIEN, RIEN.) Cette révolte nihiliste, de courte durée annonce le surréalisme d’André Breton.


Dandysme: Mélange d’ostentation, d’élégance, de raffinement et de vraie grandeur, de pudeur et d’orgueil. C’est en général une protection et une protestation contre son époque, une tentative pour en fuir la médiocrité.
Le dandysme s’est répandu entre 1830 et 1840 sous l’influence de la littérature anglaise. Il appareil chez certains personnages de Musset (Rolle) ou dans le comportement de certains auteurs comme Baudelaire.

Décasyllabes : vers de dix syllabes avec coupe à la quatrième ou cinquième syllabe. Vers très en honneur au moyen age, il se pliait à tous les genres, en revêtant, toutefois, des caractères fort différents pour un poème et pour un récit. Il céda la place à l’alexandrin, à partir de la pléiade. Il sera repris par Valéry (le cimetière marin).

Déduction, déductif : raisonnement qui part d’un principe ou de prémisses.
A partir d’un principe il va du simple au complexe comme en mathématiques.
A partir de prémisses (ne pas confondre avec prémices) il va du général au particulier qui est impliqué par les prémisses, comme dans le syllogisme.
A la déduction, on oppose l’induction qui va d’un d’un ou plusieurs cas particuliers au général, mieux, à l’universel. Il y a des esprits plutôt déductifs, d’autres plutôt inductifs ; les meilleurs emploient dialectiquement l’un et l’autre raisonnement, l’induction menant à des vérités provisoires qui ne sont démontrées que par leurs conséquences (c’est-à-dire par déduction).

Déisme : croyance qui pose l’existence d’un dieu commun à toutes les religions et à tous les hommes mais qui se refuse à parler de son essence, comme inconnaissable et tout juste bonne à diviser les hommes en de multiples religions révélées.
Voir athéisme, panthéisme, théisme.

Démarquer : copier une œuvre en général artistique et dissimuler ses emprunts par de légers changements.

Dénouement : fin d’une action racontée ou représentée. Bien voir qui les dénouements d’un roman, d’un conte, d’une nouvelle, dune tragédie, d’une comédie, est...., relèvent des finalités fondamentales impliquées par chacun de ces genres littéraires.

Déréliction : néologisme qui désigne l’état d’abandon, de solitude dans lequel se trouve jeté l’homme moderne (voir angoisse), quand celui-ci ne communique
-1-ni avec dieu, qu’il nie (voir athéisme, agnosticisme).
-2-ni avec ses semblables, pour peu qu’il soil pessimiste sur la communications des cou sciences.
-3-niavec l’art, pour peu que l’art cesse d’être considéré comme un langage.

Dérimagc : transformation, surlout à partir du XIV siècle, en vers, on y sent donc déjà la spécialisation de la prose pour le récit ou le didactisme, et du vers pour la poésie.

Désir : le désir est fait de la projection souvent inconsciente sensibilité. Il se distingue du simple besoin, purement physiologique et centripète, un ce qu’il nous fait sortir de notre être et nous invite à nous dépasser, voire à nous surpasser. Eve ou sublimé, le désir est souvent susceptible d’une explication psychanalytique. :(l’homme est un création de désir, non pas une création du besoin).

Raoino et Marivaux, dans des optiques très différentes, sont des peintres.

Destin: toute fatalité qui accule l'homme à une fin inéluctable, comme le hasard, ou la divinité, ou encore ses démons intérieurs ou même sa propre nature d'homme. Le terme implique une face de son destin, l'homme peut avoir plusieurs attitudes:
-1-ou l'accepter noblement, comme le Sisyphe da camus (mythe de Sisyphe), as semant ainsi sa condition d'homme, après en avoir reconnu la part d'absurde;
-2-ou vouloir le changer ou l'incliner sans accepter de le subir: c'est à quoi tend la volonté du héros cornélien (voir aussi cartésianisme, généreux);
-3-ou s'y livrer parce qu'on a conscience de ses efforts: (je me livre en aveugle au destin qui m'entraîne), dit Oreste dans Andromaque;
-4-ou s'offrir l'amère volupté de l'affronter, même quand on sait qu'on sera vaincue: c'est ce que Vigny admire dans sa du loup.
Tout dépend de l'idée qu'on a de l'univers et de la place qu'on y fait à l'homme (voir: antidestin).

Description, descriptif: voir i- pages 19 à 24.la description ne s'épanouit pleinement que dans les genres narratifs ou didactiques, avec des finalités particulières à chacun le ces genres. Il faudrait même dire qu'elle tend à la narration dans les genres narratifs, à la démonstration dans les genres didactiques, à l'épanchement dans les genres poétiques bref c'est l'inspiration le genre qui soumettent la nature d'un texte à leurs propres finalités fondamentales.

Dialecte: A distinguer à la fois de langue et de patois. Un dialecte est la variété régionale d'une langue; puis un de ces dialectes l'emportent et devient la langue nationale. Le patois lui, est une déformation régionale de la langue de la langue nationale. Il est vrai qu'il s'y mêle souvent des expressions ou des mots dialectaux.

Dialectique: se dit, d'une façon générale, l'une méthode de pensée progressive qui épouse l'allure du dialogue on expose une thèse quelque peu excessive; en les discutant toutes les deux, on aboutit à une pensée plus nuancée qui implique que la réalité elle même peut avoir deux visages.
Ainsi, selon pascal, l'homme est à la fois grand et misérable et solution de cette contradiction est dans la vérité du christianisme.
Sur ce sens très général, des sens plus spéciaux viennent se greffe.

Qui relèvent de la philosophie : dialectique platonicienne, aristotélicienne, hégélienne, marxiste, etc.………..
Un plan dialectique, dans avoir développé avec sympathie une dissertation, est un plan qui, après avoir développé avec sympathie une thèse, la fait suivre, avec non moins de sympathie, d’une antithèse (l’opinion opposée), pour couronner le tout d’une troisième partie qui dis cite et dépasse à la fois la thèse et l’antithèse (synthèse), et amène progressivement et logiquement la pensée à une conclusion. Cette méthode est excellente dans les sujets généraux (à propos d’un thème à discuter) et dans les dissertations philosophiques (à propos d’un problème exigeant solution).

Diallèle : cas particulier du cercle ou de la pétition de principe. On cherche à prouver une chose nécessaire et obscure par une autre chose aussi nécessaire et obscure, et ainsi de suite. Exemple : Qui soutenait la terre, pour les anciens ? Atlas ! Mais qui soutenait Atlas ? Etc.; etc.

Dialogue : conversation ou texte qui met en présence deux interlocuteurs. Dans un bon dialogue, il doit y avoir une progression et l’expression de deux personnalités différentes pas leurs tempéraments et leurs goûts. Il peut arrive qu’un poème lyrique se présents sous une forme dialoguée telle que le poète y prêté la voix à deux attitudes de son moi. Dans ce cas, l’intérêt du dialogue est dans le dualisme psychologique qui en est le point de départ et la justification .Exemple la Vigne et la Maison de Lamartine ou les Nuits de Musset. Il conviendra d’ailleurs de distinguer le dialogue du thèàtre

و بارك الله فيكم