From POET AND TRANSLATOR SALIM REGAMI TO HER LOVE REINE SABTI
27-07-2017, 04:46 PM
Un bouquin de poésie
Afin de n’omettre guère ton amour ‘’REINE’’.
Du poète : Salim REGAMI, EL–HADJAR, ANNABA, ALGÉRIE.

Dédicace :
Pour tous Mes lecteurs ;

Pour un amour qui est venu après une longue attente….

Que jamais je n’ai vécu…

Jamais je n’étais convaincu…


Vers les abris de ma REINE

Ô mon lecteur ;

Quand on n’avait vu une beauté fabuleuse comme celle de ma REINE

Quand on ne trouve guère des confins aux expressions poétiques

Quand l’amant ne tâche que pour dédicacer plus de son amour ; son cœur et son esprit et son âme à son amoureuse….


Ô mon lecteur ;

Et après

J’ai rêvé un beau jour d’être aimé, à plus forte raison d’être bienheureux à côté d’une femme enchanteresse, surtout qui met la réciprocité ou l’échange de : la compréhension, le respect, la confiance, et l’amour…et pourquoi pas d’être mon épouse si tu veux: REINE


Et alors

J’ai trouvé ma femme que je cherchais surnommée REINE


Et là je viens aujourd’hui pour lui dédicacer un bon AÏD, à mon amour, ma passion, mes espoirs, et les amalgamer et les mêler avec ma background : c’est d’exercer une influence avec les antiquités, les cultures et les civilisations du monde entier,…de tous ceux ayant passé par-ci, par-là.


Le poète : Salim REGAMI





Pour mon amour'' REINE SABTI’’

Sous la nuit enveloppant l'univers;
Sous les couleurs magnifiques et lumineuses des lunes,
Sous les chouchous et brillants rayons des regards des reines,

En chantant les chansons de la Reine des roses ....

Donc;

Nous avons passé du dehors au-dedans de ce considérable monde, nous avons vécu en tant que des enfants et peu à peu nous avons grandi ailleurs, ou comme si dans la bibliothèque ou librairie de l'école du stylo et du carnet;
de notre vie au quotidien perpétuellement j’essaye de bien contempler, et de faire des emplettes de ses maximes et de comprendre et là que nous avons bien conçu que les anges de la destinée nous convient a plus forte raison à connaître, à la fois la joie et le bonheur sont les suivantes: la réunion ou plutôt de la nomination d'ardent ou passionnant amour qui est à mon avis qui correspond de la poésie
Par conséquent, comme toujours, à la rigueur, je vous offre ces œuvres poétiques pour souhaiter un bon voyage avec ma poésie même pour vous et les vôtres ....



Le poète : Salim REGAMI


















J’ai un rêve
D’un horizon gai comme le jeu
Comme les flots de la mer et ses aveux
Comme l’amour et ses enjeux
Comme et que la lune s’installe afin de continuer
Comme un vol des rossignoles sur les citadelles
Passant par des étroits ravins
Mais…quoi
Quelqu’un qui se réveille sur la plage
Bleu du ciel comme merveille
Sur le quai de la vie resté bouche bée
Il rêve d’elle, parle d’elle, se sauve d’elle
A tort et à travers
Il cour dans l’univers
Pour accolader sa fraîcheur
Il n’a guère l’audace pour finir cet amour …
O le jour se lève encore
Laisse nous satisfaire dans notre amour
Que le malheur est obscur
Leur continuité passe dans un mauvais corridor
C’est l’achèvement du discours
Et qu’il reste de rebeller en amour
Sinon qu’il signifie la mort….






L’autre femme de Socrate…
Entre les embrasa des forces des monts
Dans les mers, et les gigantesques flux
Enchevêtrement les mystères du monde,
Dans une nature dégoute la charade,
De là, la créature débute de lire la feuille de sa pensée
C’est empêtrement joli, qu’avec l’écriture sainte a réfléchi
Et avec la gaieté des galas de NOËL a enrichi

Est un désir chancelle entre les yeux et les mamelles
D’une fille très belle
Sa beauté, un océan rebellé
Sur ses flots où concurrent les gazelles
Porteuse des épîtres vers les squares des amoureux

Alors ;
Rien à faire surtout qu’elle tiendra debout,
A cause d’un bon, mal songe,
Mais elle va s’absenter d’un beau mariage

Pourquoi ?
Il la glissa sur son ‘’street’’ pourtant
Sa femme est derrière la porte
Elle n’a pas tenu en considération d’où
Elle est survenue que…selon sa pensée

Donc ;
Elle le quitta afin de bien penser……
Un poème en prose ;
LA LIBERTÉ
En tenant compte que Béni-Sallo,
Une forteresse dans sa suprême fable,
Voilà que ses images se sont avérées
Aux miroirs des sables d’or d’HIPPONE,
Le voilà étant en marche,
Des enjambées en tout droit,
L’histoire de ceux ayant passé par ici,
Elle a été approchée à lui :
C’est la réalité, dans le coran, a été découverte,
Dans les fonds des antres et des mers,
Célèbre depuis l’aube du temps,
N’a aucun terme précis ou concis,
Connue chez toutes les nations ;
Attache-toi au fil de la clarté,
Abolish’’ le black-out’’, à plus forte raison ‘the darkness or the gloom’
De cavernes
Assume les gigantesques désirs afin de passer de dedans au-dehors de
La nature de l’injustice
Sois uni avec l’univers,
Et délaisser ‘the disorder’,
Et parler les airs des volatiles,
Et s’affranchir de rester constamment chez les cimetières,
Et à plus forte raison tel un aède d’une ensorceleuse,.....






*le bisou de mon amoureuse REINE*
‘’La jeune fille de la beauté surnaturelle’’

Sous les ombres de ce soleil là
Elle
Apparaît..., s’élève
D’une beauté ensorceleuse
En portant l’habillement de la déesse de rose
Les arbres épuisent ou ils drainent
Afin de
S’abaisser et affaisser
Les roses colorent par la musique jeune
Les pâturages bleuis, et
Ensuite, ils sont devenus comme une mer
Et dans cet état échéant,
Je m’ai été abimé en
Sa beauté fabuleuse
Une graine de pistache
À la berge d’une mer
Amant,...je suis un amoureux ;
Je m’ébranle ...et puis je m’enfuis jusqu’ici,
Ensuite,
Je goûte et je remplis de sa mer.
Sous les ombres de ce soleil là
Bijoutier ;
Diamant...corail...et pierre précieuse
Je me dégourdis, et puis je choisis
Un diamant
Et la nuit dominante
Et dans le bisou les obstacles gâchent et
Les portes sont ouvertes
Le poème désobéit
Idem ;
La rime se dresse
Et dans le bisou
Nous avons achevé
Sous les ombres de ce soleil là
Dans le trône je l’ai trouvé
Une reine est couronnée dans son royaume
Ses charmes m’extorquent
Et ses cheveux me chatouillent
Comme
Un tapis d’été a été annihilé
Par le bleu de la mer
A été offensé par les vents des hauteurs
Des monts du LIBAN,
Puis
Il était mouvementé, et vagué
Et
Le bisou était d’elle
De ces lèvres délicates et douces
Les flots de *Lītāni*
Ou les flux de son élixir affluent
Et
Les flots de la méditerranée concourent
Je distrais...elle est alléchante
Et
Affriolante plus que le jus quasi du miel d’abeille
Sous les ombres de soleil là
Sur les pâturages
J’ai dansé avec mon amoureuse
La lune est aveugle..... Et la nuit est calme
Et
Dans les bicoques de poésie le rendez-vous a été fixé
Et par le feu de tison a été le bisou d’elle
Sur la musique du feu....et la confusion des couleurs
J’ai mêlé mon âme avec elle
Et puis
Etait-ce bisou d’elle.























Le couple de deux jeunes Canaris
La nuit a couvert le large univers
Telle une amplitude de l’esprit des airs
Dans les brousses des natures
Vers l’une des cités de créatures
Où je la trouvai, une belle canarie
Souffre et crie
Elle blessa dans ses charmes
Elle blessa dans son âme
Elle blessa dans sa mélodie de forme flamme
Une voix venue de l’orient
Ses devises démesurant à travers les continents
Sa voix poussant autour d’elle mes sentiments
Quand elle vole, c’est comme la gazelle
Marche sur les nuages du ciel
Une jeune canarie
Créa l’ambiance par ses douces danses….
En revanche
Elle se tint debout sans chances
D’affranchir son amoureux le jeune canari poète sans qu’elle pense….









Ma jouvencelle…telle la Blanche-Neige
Les fables s’accoutumèrent
Les anges aimèrent
Les augures pour l’amour dérivèrent
Pour son départ vers les anges des beaux-arts
Dans les cavernes entretenaient avec les nuits
Narrèrent de leurs contenus
D’une jeune fille qui a perdu sa bague entre
Les lignes de mes vers
A guéri par mes merveilles
Une abnégation pour ses yeux gris
Ils brillent comme ils sont enchâssés
Par le brouhaha de la barbarie
Ou elle était émerveillée par la jalousie de la diablerie
Ma jeune fille fût en butte d’une male-songerie
Celle est la sorcellerie des miroirs ciblés
Autour de ma blanche-neige












Martin Luther King

On dit, On considère

Telles des fatalités allèrent,
Selon leurs songes
Comme une rêverie n’est guère de mensonges…
Telles des clartés jonchèrent,
Sur les arènes des partages,
Telles des originalités déployèrent,
Sur les monuments du courage,
Telles des gloires dominèrent le créateur,
Telle l’éternité….
Afin d’être avec la créature en unité,
Qui a récité les prières,
Pareil à un ascète ou pieux,
C’est aller en glorification de Dieu,
Le tout Clément, le Miséricordieux,
Qu’il narra à ses descendants en vers des belles histoires,
Y étaient d’astreindre
Qui tricota sur les fibres du temps à perdre
Entre le blanc et le nègre,
Vers d’entreprendre ces souvenirs aux contes,
Réciproques ou transférés en propres mains des pauvres avant des comtes,
Pour être avec l’une d’eux des parodies des univers,
Dont,
Un homme et une femme
Qui sont…
Des esclaves surnaturels
Consolidés par l’Évangile
Ils ont aperçu la lune diurne,
Et par les Cobras malmenèrent,
Guidèrent vers les déserts,
C’est une maltraitance berbère,
Abaissèrent au fond des mers,
Soufrèrent…regrettèrent, au Dieu demandèrent…
Et à lui levèrent leurs anathèmes,
Sois prudent… sois tolérant
N’entends pas
Vas à départir pas-à-pas
Ecris un poème
Amateur dans toutes les ères
Sois un amoureux de la nature
Que tu ensemences les germes des roses
Et d’elles on extrait les réalités et les rêves
vis avec la lumière des anges
Pour que tu sois détruit par l’échange de haute envergure
Sois libre
Embrasse l’esprit céleste
Adhère en convoi libre……








Que porte la nuit…
Ô la nuit, quel bonheur
Tu couvres l’univers à travers
Ta foncée couverture
On dirait que tu es une Reine des créatures
C’est un lien entre les fantômes d’ALÈS
C’est un lien entre les fantasmes d’ÉPHÈSE
C’est une mutualité des sentiments et de poésie
Etait comme un grand amour
Cependant était au bord de la mort
Ô ÉROS
Offre-moi un château d’or dominant des maximes entre les communs
Ou un jugement entre les êtres humains
Car ta couleur gagna la nature et que la joie va sortir de nos cœurs
Pêcha par une fille de beauté splendide
C’est qu’elle offerte par Aphrodite
D’emblée qu’un baiser de chères lèvres
Ecailla comme une fleur
Eblouit ses yeux par la nuit et sa couleur

Alors

Mon amoureuse vit sa jeunesse
Qu’avec tendresse
Comme une princesse dans ma belle forteresse
Que je suis son poète sans faute.



Récits de l’amour,
En récitant le contenu ....des pages des bouquins favoris des histoires d’amours ; a monté à bord des paragraphes avivant...
Continue ... !
Les jours magnifiques ont été en butte de la gêne ou de retard ou d’arrêt pour joncher ses retouches sur le futur venant
A l’accoutumée, était en face de ce terme selon des divers temps ou simplement par intervalles
Voici entre !
L’est et l’ouest
Le nord et le sud
Il ne trouve pas son amour…c’est pourquoi…
Il est en oraison funèbre
Il s’emploie à découvrir son aléa
Un contemplant un gobelet inversé
Quel augure…quel oracle…
Entends ton fond
Identifies-toi à lui
Tu le trouveras à côté de toi
Alors!
Il l’a vu semblable à son ombre
Une jouvencelle dont,
Ses cheveux sont colorés par l’essence des couleurs des joyaux
Devenus stables, jolis : c’est grâce à l’esprit du royaume des roses
Il te prend avec les chardonnerets vers les larges espaces
Frais, flexibles, fermes comme les branches du ‘CÈDRE’
Ses yeux ...c’est pareil à des anges éblouissants, ébahissant en soirée d’un AÏD
Et là où les récits d’amours devenus son théâtre
Sans oublier, son entretien ayant été en air vers le cœur où j’ai maintenu mes vers
Donc ;
Ma jeune fille de’’ beauté sauvage’’
Veuillez agréer mon bisou à votre délicate joue
Où tous les cosmos vastes des sentiments sont réunis
Où couramment je suis à vous un amant


























Tout simplement je t’aime ma fleur….

Je ne sais plus ni d’où on va aboutir dans l’amour, ni comment aboutir, or je sais où je vais commencer, d’où je débute par l’expression ‘’je t’aime mon amoureuse comme si je te donne mon cœur en sacrifice’’….
Une des fantastiques allocutions, des gigantesques sensations, des caractéristiques des dictionnaires de la communication entre les amoureux….
Existantes à l’apogée du volcan d’HOGGAR, pour que nous vivions et mourions à la même heure ; ce n’est guère au hasard où mon amour s’avive et s’avère comme si des conjoints dans un concert….en t’étant offert idem tel un tableau au cœur de la nature…dessiné par les plumes de la destinée ….celle-ci a des yeux gris qui attirent mon regard, sans omettre ses lèvres en couleurs claires chancellent avec toute brises de l’air et moi un oiseau baladant en tous les ères…
Mon amoureuse ….
Laisse-moi un endroit dans ton cœur afin que tu concrétises mon espoir d’être mon épouse…
Et puis prends un stylo et appose ton bisou sur mon carnet de poésie….



















Un poème d’amour pour REINE…..
On dit,
Elle s’avéra, arriva, comme une colossale germe de l’amour dans cet univers ; à ALLAH qu’elle pria….alors elle est REINE l’énigme de mes mains….
Elle s’allongea et avec un jeune poète, elle partagea…et avec elle, il discute et pour elle son poème de l’amour chante…comme une pièce de théâtre charmante, ou un printemps d’année fleurissante….que les yeux de son amoureuse prennent part comme un fragment de pierre précieuse dans l’art rare…comportent les mers et les déserts…et pour elle les portes de PLATON frappèrent….tu es trop belle REINE et tout simplement en avance dans le bonheur à pas de géant…et pour toi que les descriptions dominant…..
Mon amoureuse… REINE …
Donne-moi un peu de ta bière andalouse n’existe que dans ton paradis….dans tes douces lèvres…..
Merci….


















Une lettre dans un poème
Sur le quai du destin , les lettres se balancent et ainsi elles s’aperçoivent comme des chancelantes, se sont ingéniées par la beauté, ne sont plus fortes que pour accéder à l’âme des amants, que pour surmonter les sagesses et les secrets des missives d’amour, portées aux cœurs des pigeons , dans des couronnes sur des têtes des charmantes, dans un bisou à la joue d’une affriolante , elles se précipitent de son monde mystère dans des mots de passion des grâces de Dieu, je les dédicace à mon amoureuse en agréable jour, pour une longue marche, afin de prendre une route non-dénommée que par les noms et synonymes de l’amour, celle que je vois comme une merveille couronnée dans le monument de ‘’RIADH EL-FATH’’ une martyre de l’amour, et à elle j’ouvre mes bras, où je l’attache ou je la joins à mon cœur ,celle qui relève son sein comme le lever des cornes des gazelles de bas vers le ciel, et à elle que j’abandonne mon état c’est comme ‘’ ÉROS’’ qui m’ a donné tous les rêves de toutes les enchanteresses.
Mon amoureuse voilà un rouge des couleurs du spectre et puis dessinez-le comme une écharpe à tes épaules afin que je ne vous néglige guère et à jamais à tout dans une lettre dans un poème.




















Une transition longue…pour un voyage dur…
A vrai dire…
Qu’il passa de dehors au-dedans de ce vaste univers,
Qu’il écrit selon les meilleurs chapitres,
Qu’il plonge, à plus forte raison se noya au sillage de l’art obscur,
Qu’il chanta de la douleur,
Qu’il marcha à l’aventure,
Qu’il se mit au vert,
Dans un bouchon n’est pas à servir ou à ouvrir,
Dans ce chemin, je le trouvai comme une sentinelle,
Banda ses yeux tel un aveugle,
Envahit par une vague de fugue de fait vague,
C’est le seul, le destin lui se concrétisa comme un dessin à travers,
Une plume nègre, sur un fleuve sanguin,
C’est le sang de son cœur ouvert grâce à la majesté des malheurs,
Je le vois prendre le train d’accrochage entre la vie et la mort,
Pour un long départ,
Que ceci n’est plus au hasard,
Sans faire ses adieux à ces bouteilles et ces verts,
Celles et ceux qui lui narrèrent,
Que les bonheurs,
Pour aller antipodes,
Qui t’a dit….
Que les dons de Dieu pour lui vont réaliser,
C’est que les satanes de poésie disent…
Entendre…
Elle va le délaisser…
Comme elle a affaissé tous étaient passé d’ici et d’ailleurs,
Or, il aime cette avenue des prochains souvenirs,
N’inquiète pas, il va survenir,
Alors ;
Il va se convaincre que son voyage une sans faute une erreur…


























Pigeon perdu….
Il est perdu entre les ruisseaux et la verdure
S’abreuve des délicats abreuvoirs
Se nourrit des fantastiques airs
Il aima la vie et que cette dernière
Résida au fond de l’univers
Son amour, fût sincère
Exporta du cœur
Attendre…
visa par son prédateur
Fut tel un cauchemar
Fut toujours le destin nous cherche
Et la vie constamment marque sa touche
Dans le bonheur et le malheur
Dans l’attachement et l’écartement
Dans le dell est le Farewell….













HOMMAGE à MON AMOUR *REINE*
Les envergures des mondes sont déjà diversifiées, idem les lunes restent de joncher les clartés, et mon cœur s’était attaché à la Reine des merveilleux astérisques.
Ceux qui ensevelissent de leurs lumières vers les délicates joues de mon amoureuse ‘’REINE’’ afin que les créatures l’écoutent et qu’il cherche perpétuellement de comment réduire le trajet vers « REINE » pour voler avec les pigeons vers ce magnifique horizon qui existe uniquement au LIBAN. Jusqu’à l’ère d’HIPPONE et la PHÉNICIE. Vers le destin qui a fait unir nos cœurs. Jusqu’au bout dans l’amour de ‘’REINE’’.
Alors, elle est ma jeune fille.
D’un corps effilé et sachant que les oiseaux la hantent afin d’être beaux. Ses yeux du gris et que l’argent dédicacent sa couleur à ‘REINE’’, sans omettre sans faute ses cheveux marron.
Alors, comme une feuille du sapin en jour d’aïd en accélérant, en volant pour stabiliser sur ses épaules comme un BURNOUS des ancêtres.
Donc, elle marche dans le sillage des sages personnages dans le brouhaha des charmes et des finesses et tout simplement c’est ‘’REINE ‘entre la ZÉNOBIE et TÉNHINEINE


















HORIZON
A cet horizon éloigné
S’étant guéris par les maux pluviaux et solaires et torrides
Par-ci où elle s’était tombée
Précipitée par les flèches, les dards de la mort
Sur un sable argenté croustillant, délicieux des plages d’HIPPONE
Et les fantômes palpables et concrets crient comme des enivrés
Ceux sont les saluts du ҪIVA
Montant au bord d’une arche en marchant, plutôt en navigant sur une arche du Sidi M’Cid….
Sois rapide le temps presse... ;
A son île,
Son fief, Son patrimoine
Étaient situés
Il a mis son âme et son corps aux fers pour elle
Agir, c’est votre esplanade et votre arène
Parler, elle va t’aider
Élucider, elle va t’entendre
Être plongé dans l’obscurité : c’est pour elle
Et pour elle, le contrejour est le titre d’affection éternelle
Et un chemin surnaturel
Faire vivre pour elle comme un ménestrel d’une belle...








C’est une écriture….
Ils disent ….
Quitte toute inquiétude
Tu t’abandonnes à la lune splendide
Apprends les versets du clément
En tout moment
Combattez
La peur, la fraude
Et préfère les cultures et les couleurs
Prends un bateau de foi
Et navigue entre les abimes au fonds des mers,
Balade en fiction fructifère
Comme le monarque contre la misère
Et emploie-toi à faire une prière
Afin de vivre toutes les ères…..














À mon amoureuse REINE

Je me suis soumis à la poésie,
Sous l’effet du ZÉPHIR ;
Je stationne à l’un des dômes de la nature ayant une belle devise ;
Je médite une beauté qui a impressionné un poète de la première vue.
Et au nom de la beauté,
Il écrivait de la poésie
Son amour écoulait dans mon cœur comme l’eau dans la cascade
Lady ;
Prêche- moi par un sourire……….
Un sourire qui déchaine ma plume pour exprimer ce qui est dans mon cœur, qui lit les paroles de ma poésie qui dessine par les doigts des anges, et qui récite les noms des canaries, pour dédier ce jour à la beauté pour découvrir ma poésie.
Et puis, je te rends éternelle dans mes les pages de ma vie
Pour la suspendre sur les villages de théâtres, et les villes de la littérature
Madame ;
J’adore ta beauté y compris de tendresse ;
Douceur, et sentiment ………….
Ta beauté a pris le poète à des millénaires de passé, aux légendes des grecs et des romains.
Elle était une messagère des dieux de la poésie et de la beauté.
Je lui envoie avec les oiseaux des rêves et d’imagination, qui ont augmenté son élégance et son équilibre ………
Pour lui prendre dans cet horizon lointain où ils ont publié leurs lettres.
Une lettre d’amour, que je recevais en mon imagination comme quelqu’un qui éclaire ma vie ……
Elle tombe comme les gouttes de rosée sur les parois de mon cœur qui adoucit à elle
Elle m’a flashé par la brillance de ses yeux, que je l’ai imaginée comme illumination de mes poèmes




























L’artisto


Le peintre exerce une influence sur son tableau …….
Le sculpteur exerce une influence sur sa statue ……
Le compositeur exerce une influence sur sa musique ……
Alors, moi, je m’adresse à ton amour …….
Ses yeux ont soulevé mon âme …..
Ses flèches ont percé ma poitrine …..
Le muézin annonce que la littérature est levée…….
Je me précipite vers le mihrab pour prier et appeler dieu de la poésie ……….
Plus d’encre………
Je crains que ………..se termine …… et je termine bien que les lettres d’amour à Reine, ne sont pas encore terminées…….écoute …………
Je vais entrer avec toi dans une nouvelle ère
Madame,…….
J’erre ……dans le brouillard, et je dessine ton beau visage sur ma paume ………….
Reine …….je t’aime, et mon cœur est témoin.
Si la beauté est comme les saisons,
Tu es la beauté et les saisons, et chez-toi,
Les histoires de mes vers sont divers………
Que je les mène à la lune ……
O lune ; tu étais la lumière pour l’amour et les amoureux, tu illuminais les poèmes d’amour, tu te reposes
Je regarde la vie …………..avec des yeux comme les étoiles du ciel……..elle était mieux claire,
Puis, j’ai envoyé ma poésie sur une vague de nuages, qu’elle était …
Au la légende de la poésie …et la légende de nature.
Elle pose sa beauté sur mon âme, et elle est devenue la rime de ma vie, dans ce moment
O mon âme! Ne t’inquiète pas, elle est une dame que je n’ai pas trouvé dans les règnes des gothiques ni dans les poésies des romaines ou de « HOMÈRE »ou « VIRGILE »…..ni, aussi dans les temples des hindous……….
Mais je l’ai trouvée à côté de moi comme une reine et j’étais son poète ……..
Eh! Les dieux de la poésie au-delà l’étoile peut vivre ……….
Au-delà……………..
Et, au-delà on dessine l’un des tableaux de la nature.





















« Reine » et EROSTRATE
L’écroulement des bâtiments des tribus passé par-ci par-là ;
Alors qu’elles sont chancelées,
Afin d’étaler de leurs mystères,
De peur de la malédiction des mythes,
Des jours, à la suite ………. Fruite en avant,
Puis, avancement…
Voici, ses entités qui ont manifesté sur les portes des temples ……………
Le voilà avec sa tristesse
Il ouvre ses yeux sur ces ruines
Il inculque le feu sur ces endroits
Il transcende en termes de nostalgie …….
Il transcende en termes de l’amour
Le voilà, il paye toujours le dommage de dimension
Il voit un monde étrange ……………
Qui le met loin de son rêve ……….
Qui ignore sa légende………
Qui s’adonne à son injustice
Réponds …………… parle ………..exprime –toi ……..
Amène –moi à ton imagination ……
Et je vais t’amener comme une rose des bosquets du paradis
Et grâce à toi, les chants et les sons sont variés ………..
« Reine »
Aimez-moi vers le haut de L’EDOUGH
Je t’amène aux vers
Je t‘intègre aux lignes de la poésie ………
Je te fais ……… rime et caractère
Et grâce toi, je suis classé un poète …………..
Qu’est-ce que tout cela mon ami!!?
C’est tu l’as vue …………
Tu te sens comme si tu étais devant un tableau sur naturel, des jours de tristesse et de la misère.
De ses yeux …Les étoiles et les lunes seront générées ……….
Et de gris, elle a fabriqué l’encre argentée de mon stylo
Et de sa bouche, on a pris les légendes primitives……….
Et les histoires des anciens ont été établies
« Reine »
Rien de mal à t’aimer …….
Rien de mal quand tu m’aimes …….
Mais le désespoir c’est quand tu me laisses…











J’avais besoin d’un baiser d’elle
Il m’a rassemblé comme je touche son corps
Mon amour
Comme un bébé
Afin que je me sens que ta tendresse cercle dans mon corps
Mon amour ;
Tu étais cette sirène
Tu étais cette femme imaginaire
Aime –moi
Rend moi sur tes cheveux
Des yeux du gris
Par les expressions de l’amour
Aimez-moi, dans la révolution d’un mot
Dans tout le monde est …….
Pour l’écrire
Non…… ne jamais partir ………écoute- moi
Puisque tous mes poèmes sont dédiés à toi








Reine ;
Dans les ruines d’Hippone
Que ma pensée s’est épousée avec
Les aromes du monde ancien
Je l’ai vue dans un beau rêve
La reine de SIDON
…………… sur les volcans d’amour de mon cœur ………….
Je l’ai vue, elle n’est pas comme d’habitude
Elle est couverte par un nuage blanc
Et sa couronne est sur sa tête
O mon ami ;
Elle est une couronne de ses roses
Elle chante sur les sonores des meilleures symphonies
Elle était la plus belle des reines
Voir!!
L’air de l’une des matinées du printemps souffle
Pour que ses cheveux gris battent
Comme les vagues et les murs de mon cœur……….
Et il couvrit la terre par les fleurs
Et que les oiseaux l’adorent
O mon amour ;
Aimez-moi
Je vais te dessiner comme une rose d’été
Qu’elle est …… entre les rayons du soleil
Qu’elle est ………… sur le front d’apollon
Que les gens ……….
Mon amour
J’ai besoin de t’embrasser, un baiser
Pendu sur les murs
Comme la vierge marie
Ou un tatouage sur mon cœur
Ou comme une chandelle
Je la porte dans un jardin fleuri
Dans l’une des nuits de cet hiver éternel
Mon amour,
Au nom de l’amour
Que je me sens avec toi
Détend –toi
Et règne sur le trône de mon cœur
Détache avec tes mains
Ses clôtures ….
Et lis –moi
Quelque chose de tes mémoires,
Je m’imagine dans tes bras
Au sein d’une femme
Qui a une beauté
Qui a rendu les magiciens du pharaon
Muets, et les bras croisés
Mon amour!
Tu es comme un rire d’un petit enfant,
Agitant ses mains
Pour l’illumination du monde
Qui a commencé à le connaitre récemment
Aimez-moi
Prends-moi à ton monde
Je vais dessiner de mes poèmes
L’un des tableaux du destin
Qui nous ont réunis
C’est une histoire
Qui elle ne veut pas être terminée mon amour















Vision…………..
Dans une des nuits
D’un hiver chaud
Je ferme les yeux
Et, je me vois dans des rêves
Comme les enfants
Avec l’âme d’Aphrodite
Je vole dans le fantasme du ciel
Avec ton charme, Aphrodite!
Je vous rappelle, et je vous en prie
Pour mon amour
Je suis perdu dans les trajets
De la nature de la beauté
Cherchant une femme
Que je vois dans mes rêves










Je l’ai vue
Sur les sables du tassili
Elle se promenait …… et marchait
Laissant derrière elle des traces,
Pour tous les esclaves de la beauté qui adorent la beauté
Et, elle dessine par le sang de mon cœur
Des peintures murales sur le Hoggar
O mon âme, soupire
Car tu ne vois pas cet ange avant
Je l’ai vue
Elle soupire avec ses seins
Comme les bois de cerfs de l’eau
Elle était dans une nuit mystérieuse
Illuminée par deux lampes
Elles sont deux yeux gris
Leur beauté distille
Comme les gouttes d’eau des roses
Dans l’obscurité
Qui a envahi l’espace
Au-delà de la lune
J’ai rêvé d’elle
Je la regarde
Et, je savoure devin de ses lèvres
Je caresse son âme
J’inspire sa brise
Et nos comportements
Dans cette rencontre ont frappé les fables ou
Les légendes des amateurs
Des rêves passés avant nous
O Aphrodite
Dans sa vision
Elles ont ouvert les fenêtres de l’univers
Par une musique douce
Que je vois portée
Sur les pattes des anges
Elle récite les paroles de mon poème
Sur les cordes d’un violoncelle d’or
O, Aphrodite,
Ceci est mon amour
Et voilà ma vision










« C’est …. Reine »
Je ne sais pas où je vais terminer
Et comment je vais terminer
Mais, Mon amour
Je sais d’où je vais commencer
Je vais commencer par ce mot « je t’aime »
Parmi les plus belles expressions
De l’innocence des sentiments
Parmi les plus belles paroles
Dans le dictionnaire
Qui sont trouvées,
Sur le sommet du volcan Vésuve
Pour mourir et vivre à la fois
Ou mon amour devient
De plus en plus rebellé
Et, il éclate dans un baiser
Dédié à toi









Les misérables
Ils marchèrent…aux enjambées dures…dans un long parcours…
Ils tombèrent dans le désespoir,
Que ceux sont obscurs,
Ils ont des yeux nus, ou détenus du site,
Et des cannes détruites,
Ils ne quêtèrent jamais à connaître,
Et que les histoires furent aigres,
Et que ces dernières s’employèrent que pour les dédier aux tortures….
La misère les censure sur cette terre….
Ils baladèrent aux boulevards
De l’inquiétude et les cauchemars ;
Ils pleurèrent à cause des leurs sorts…
Attends
Une flache de lumière vient de dehors,
La voix du muezzin se lève,
La cloche sonne,
La trompette s’exécute,
Voyez-vous,
Aucune personne n’écoute,
Aucune personne ne croit,
Aucune personne ne se concentre,
Ils furent, les mesquins de cette ère,
Ils furent joués par l’univers non-clair,
Ils furent une goguenardise à la portée des gladiateurs,
Or…
Et qu’Il ne s’agit de personne eu égard aux les mettre en son humeur…


Un esprit souffre…puis qu’il souffle…

Sur le tison du feu, il s’installe,
Lève ses mains vers le ciel,
Un mirage d’oasis au Sahara qui brûle,
S’impressionne en des récits des précédents siècles,
Promenade aux banlieues urbaines et rurales,
D’autant plus, URBI et ORBI ;
C’est avec tous les genres humains,
Personne ne lui connaît,
Personne ne lui vient,
Il entretient une langue qui est difficile à comprendre,
Malgré,
Ils se sont employés à elle sans savoir…
Les gens et desquels regrets...
Désorientés …occupés… … distraits
Ses sois mêmes pour l’accepter…et puis pour l’adapter …
Au dire de certain monde…
Une fosse profonde…
Ample des ténèbres où ici les vies des êtres existèrent…
Idem, où là tous les beaux univers rassemblèrent….








L’amour…où ma muse dans les broussailles du REINE….
Les arbres des équinoxes chancelèrent…
Et avec les sons de l’automne composèrent…
Et ainsi de suite avec l’hiver…
Poussèrent les chardonnerets pour qu’ils chantent…
Telle une mélodie de la cloche de Notre-Dame…
Vers ces beaux âges...
Où il captive les mots de l’amour et avec elle,
Il partage…
Comme l’être qui vole entre la terre et le ciel…
Il dit...
Vient à moi,…une feuille du jujubier vierge,
Nue des mauvais songes…tels le nuage…
Vient,…afin que je te dessine entre les cèdres et les sapins…
Et que je te prenne des portées du clergyman...
Et je te lèverai, et puis je t’affaisserai pour un bisou à Aulnay…
Chez une lune ne dégoûte jamais de frauder la lumière du soleil…
Portant dans ma poche une musique des merveilles…
Afin de te sculpter l’une des colonnes de BAALBEK…
Vient…
Pour que tu sois…pour que tu vives…comme si éternelle…selon le Pain de sucre…
Une chanson exceptionnelle sur le théâtre d’ÉPIDAURE …
Où tu ne serais guère au dehors de mon cœur…
Ô mon amoureuse…
J’ai fait un beau songe…à travers un ardent amour…
Que nos cœurs prennent le même part dans l’amour…
« Les pyramides ….MAYA…et …PHARAONS … !»
Aussi bien que je cours avec les chevaux…pour gagner ton amour…
Sans avoir le dessous…son essence comporte une ligne de poème d’amour…
REINE…
Offre moi un baiser…c’est une couronne à ma poésie…



























Une phrase …dans...Un carnet favori….

Avec les soucis que la vie a discuté…
Avec la dignité des ères a argumenté…
Avec la gloire des écritures célestes a récité…
C’est une page, elle-même souffre…
Pour la scruter dans son bouquin qu’elle préfère…
Ce n’est guère …qu’un savoir-vivre avec l’amour de REINE…
Par les maux des êtres, les contes, les paraboles, bref les ancêtres…
Sur les quais des beaux-arts…
Ce livre est ouvert…
De la bibliothèque des combats qui le désespère…
Qu’il est pris et avec un ancre gris….
Ce bouquin était écrit…
Pour humer les goûtes sombres…
Ceci est dû à l’écartement de sa jolie phrase…
Qu’elle est encore évoquée dans son livre…
Singulièrement aux heureux moments du nègre…
Selon les prestigieux hivers…
Oui, qu’ils vont dire,
C’est une locution célèbre,
Laquelle :
« REINE….rejoins-moi …c’est fortement que je t’adore… »






Parmi des dons…

Ils sont venus en ce monde extraordinaire...
Une planche d’artiste peintre…
Cossu par les couleurs…
Une vie vacante des images de la verdure…
Comme un bisou à la tête de la vierge…
Comme une salutation du clergé…
Comme un cher fils apparait à ses songes ;
Volez par vos ailes…offerts par Allah…
Telles clartés illuminent ton intervalle
Que je vous partage…
En ciel dont une lune sauvage
Et des étoiles dispersent leurs maux…
Idem ;
Mes chéris, soyez cléments vers vous, comme si vous vous brisez avec l’air…
Une feuille d’arbre d’olive envahie par la mélodieuse douceur…
Et puis…
Les stratus aiment la terre…
Juste pour qu’ils offrent des eaux rares…
Même si ils occupent ses demeures…








Dans les coulisses….
Aux bords des bouts…
Ils s’assirent …à l’attendant…
Plutôt, attendirent….
Tels …désorientés…distraits… regardèrent….et…
Prévirent leurs désirs …
Ils ne surent plus ce qu’ils les attendirent ;
Même celle-ci…
Ils l’imaginèrent comme elle toujours unitaire ;
Les signes de Dieu l’approchèrent…
Si qu’elle fut au labour perpétuellement …
Que c’en est assez, elle fut dominant…
A travers tous les jardins …
Elle fut promenant….
Afin d’amasser, de produire de son corps des diverses bières…
Si tu les bois, tu guériras….
Des fardeaux de Dieu.
Pourtant une chère mort est plus que cette existence…
C’est au dire de cet être majeur…










Le violent…
Selon les ambiances passives…
Selon les abondances affectives…
Selon les musiques fictives…
rare dans son ère…
Dans les performances festives, ainsi que la renaissance …
Une Influence par son fabricateur…
Le monde dort, or elle éveille…
A la recherche d’une part dans le cœur ;
Captive…vas-y…
Et renonce à tous les désordres…
Abdique-toi …
A la couleur du roux feu…
Lis…
L’une des prodiges de Dieu…
Et récite un dit que tu partages…
Ecris sur le port des rebellions …
Comme le combat des trahisons…
Départ avec la fiction telle une expression des poésies…










Une perle ;

Aux îles de la fiction,
son fief était là,
avec la mer il a discuté
en feuilletant le coran
en imaginant le pouvoir de Dieu
dans ce vaste univers
en narrant aux créatures
les histoires des ancêtres
c’est une perle
abîmée dans la mer et que
Son brillant éblouis
Les fables des navigateurs
Cherchant de la beauté éternelle
Elle récite ses romanceros
Au théâtre de CARTHAGO
Un beau jour,
Elle a aimé,
Alors,
Son clarté,
ses charmes,
son aimant,
sont devenus plus forts
pourtant ;
Ô mer,
garder tes flots
afin qu’ils n’agacent pas les âmes,
et tuent les cœurs,
Cependant,
les vagues restent festoyer
et puis ce fut le bateau est abîmé
et le point final de sa vie est mis.


























Le sommaire

TITRE page
Dédicace 01
Pour mon amour REINE 02
J’ai un rêve 04
L’autre femme de Socrate 05
La liberté 06
Le bisou de mon amoureuse REINE 07
Le couple de deux jeunes canaris 09
Ma jouvencelle … telle la blanche neige 10
Martin Luther King 11
Que porte la nuit 13
Récits de l’amour 14
Tout simplement je t’aime ma fleur… 15
Un poème d’amour pour Reine 16
Une lettre dans un poème 17
Une transition longue…pour un voyage dur 18
Pigeon perdu 20
Hommage à mon amour à Reine 21
Horizon 22
C’est une écriture 23
A mon amoureuse REINE 24
L’artisto 26
REINE et EROSTRATE 28
Le bateau de mon amour 30
J’avais besoin d’un bisou d’elle 32
REINE 33
Vision 36
Je l’ai vue 37
C’est …REINE 39
Les misérables 40
L’amour…où ma muse dans les broussailles de Reine 42
Un esprit souffre …puis qu’il souffle 43
Une phrase… dans …un carnet favori 44
Parmi des dons 45
Dans les coulisses 46
le violent 47
Une perle 48
Le sommaire 49



Un mot visé à ma reine ---Reine Sabti---
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En déployant sur les sables de la vie, en unissant avec l’univers, les colossaux envies et désirs pour sortir de la nature.
Recherche de la vérité et recherché pour lui…dans les cavernes des ancêtres, dans les profondeurs des mers, dans les oasis rares…
Invariable, instable pareille à la rose des déserts ;
Soit prudents !
En ne considérant guère et à jamais qu’il y ait des barricades bleues ou rousses aux lettres afin d’aimer et vivre…
Alors ;
En combattant la peur,
En trahissant le désespoir,
En accompagnant les oiseaux et leurs airs,
En prenant en angle d’amour,
En effaçant les endroits de l’horreur ;
Et en nous acheminant vers le bonheur. **