Les fils de la Kahina,
25-12-2007, 07:21 AM
Les fils de la Kahina, des commandants musulmans à la conquête de l’Andalousie
Les premières batailles entre l’armée des berbères dirigé par la Kahina et celle des conquérants musulmans dirigés par Hassan ibn en-Nuâ’man El Ghassany fut largement acquise en faveur de la Kahina. Parmi les prisonniers de la Kahina fut un jeune courageux arabe appelé Khaled ibn Yazid el-Qaïssi et qu’elle adopta comme son propre fils. Tout en défaite, Hassan ibn en-Nuâ’man retourna à Barqa (Tunisie) où il installa ses quartiers en attendant plus de renfort du calife Abd el-Malik.
Après cinq année d’attente, le nouveau effectif parvenait à Hassan ibn en-Nuâ’man pour une nouvelle bataille contre la Kahina. En sachant leur arrivée elle dit ceci à son armée : « Les arabes veulent l’or et l’argent, et, nous autres, nous ne voulons que la récolte et le pâturage. Je vais mettre du feu sur toute l’Afrique »
En effet, à mesure que Hassan avançait, des délégations entières de berbères lui arrivaient à sa rencontre pour implorer son secours contre leur reine.
La KAHINA savait que c'était la fin. Elle fit venir ses deux fils et leurs demanda d'aller rejoindre le chef musulman qui les accueillera avec les égards dus à leur rang. Elle laissa également partir tous ceux d'entre les siens qui le désiraient. Quant à elle, il était hors de question pour elle de se rendre. Elle avait sur les épaules de sa charge à défendre et saurait mourir comme une reine, la tète toujours haute.
La prédiction de la Kahina s’avéra en 74 de l’hégire, soit vers 694
A la tète d'un petit bataillon d'irréductibles, elle livra son ultime bataille prés de Tabarqa (ville de Tunisie). Ecrasés par le nombre, ils périrent tous après un héroïque combat,et elle-même, tomba dans ses Aurès qu'elle avait éperdument aimés, prés d'un puits qui porte désormais le nom de "Bir El KAHINA". Et tous les berbères, anciens compagnons de la Kahina, demandèrent la paix de Hassan et énoncèrent tous la profession de foi. Une armée, de 12000 des anciens compagnons de la Kahina, fut faite, et, commandée par ses deux fils. C’est en partie cette armée qui engagea la conquête de l’Andalousie sous le commandement de Tariq ibn Ziad.
Les premières batailles entre l’armée des berbères dirigé par la Kahina et celle des conquérants musulmans dirigés par Hassan ibn en-Nuâ’man El Ghassany fut largement acquise en faveur de la Kahina. Parmi les prisonniers de la Kahina fut un jeune courageux arabe appelé Khaled ibn Yazid el-Qaïssi et qu’elle adopta comme son propre fils. Tout en défaite, Hassan ibn en-Nuâ’man retourna à Barqa (Tunisie) où il installa ses quartiers en attendant plus de renfort du calife Abd el-Malik.
Après cinq année d’attente, le nouveau effectif parvenait à Hassan ibn en-Nuâ’man pour une nouvelle bataille contre la Kahina. En sachant leur arrivée elle dit ceci à son armée : « Les arabes veulent l’or et l’argent, et, nous autres, nous ne voulons que la récolte et le pâturage. Je vais mettre du feu sur toute l’Afrique »
En effet, à mesure que Hassan avançait, des délégations entières de berbères lui arrivaient à sa rencontre pour implorer son secours contre leur reine.
La KAHINA savait que c'était la fin. Elle fit venir ses deux fils et leurs demanda d'aller rejoindre le chef musulman qui les accueillera avec les égards dus à leur rang. Elle laissa également partir tous ceux d'entre les siens qui le désiraient. Quant à elle, il était hors de question pour elle de se rendre. Elle avait sur les épaules de sa charge à défendre et saurait mourir comme une reine, la tète toujours haute.
La prédiction de la Kahina s’avéra en 74 de l’hégire, soit vers 694
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