1LES COQUILLES DE NOEl 2
23-07-2008, 09:32 PM


LES COQUILLES DE NOEL
Partie 2 : former et cuire

Pour 2 coquilles familiales: 400 g de farine - 200 g de sucre en poudre - 100 g de farine pour recouvrir après l'amalgame - 3 à 4 oeufs entiers - 15 g de levure sèche (biologique deshydratée) - 30 cl de lait tiédi - 150 g de beurre pour couvrir la pâte après sa première levée - 100 g de raisin secs réhydraté dans le thé ou 100 g de sucre candi ou de sucre blanc concassé


1. La pâte a été divisée en deux
2. Ajouter selon vos gouts les morceaux de sucre ou les raisins réhydratés dans le thé
3. Appuyer légèrement
4. Plier
5. Incorporer en continuant à pétrir la pate
6. Former d'abord le corps de la coquille
7. Former les boules en pressant la pâte. Si la pâte est correctement travaillée, on sent la pâte se "déchirer" sous la pression exercée par la force développée par la main
8. Par sécurité, on tournera les boules d'un quart de tour.
9. Poser sur plaque à pâtisserie beurrée, avec papier sulfurisé. Couvrir et laisser pousser à T° ambiante au moins une demi-heure trois quart-d'heure. La pâte doit sensiblement doubler de volume
10. La preuve !
11. Passer à la dorure (jaune d'oeuf + eau)
12. Prête à cuire:10 minutes à 200°C puis 20 minutes à 180°C. Important, la coloration intervient très vite, on terminera par sécurité la cuisson avec une feuille de protection de papier aluminium

Passons maintenant à la dégustation ;o) Couper de grosses tranches et tartiner de beurre salé et tremper dans un chocolat chaud bien crémeux et bien épais !!!!!!!!!!!
Indispensable pour déguster les tranches de cramique : Le chocolat chaud de Marguerite

Marguerite mélangeait en tant pour tant le chocolat amer "Van Houten" avec du sucre en poudre.
Elle mélangeait et liait l'ensemble au lait froid. Déjà les arômes âcres du cacao amer remplissaient la pièce. Le cacao hydraté prenait forme sous un aspect pâteux.
Marguerite faisait ensuite chauffer son lait avec une gousse de vanille fendue. Le lait chauffait à petit feu, avec ce bizarre disque de verre pour empêcher le lait de se "sauver"...
Puis la magie s'opérait, Marguerite versait le lait chaud sur le cacao, délayait et reversait le mélange dans le lait bouillant, puis à la spatule , elle vannait avec patience en surveillant le velouté...
Il ne nous restait plus qu'à tremper de larges tranches de cramique beurrées dans le nectar.